1. Vous avez un message


    Datte: 27/05/2021, Catégories: fh, ff, frousses, inconnu, Collègues / Travail cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme fgode, pénétratio, double, fdanus, jeu, BDSM / Fétichisme yeuxbandés, fouetfesse, initiatiq,

    ... Une autre fois peut-être. Elle s’était amusée à renvoyer ses soupirants l’un après l’autre, se demandant à chaque fois s’il pouvait être son « YNot ». — Je trouve que les femmes devraient toujours laisser leurs seins balancer librement, c’est tellement plus joli. La seule vertu des soutiens-gorge est que l’on puisse les dégrafer, pour libérer les seins de leur prison de dentelle. Alors qu’elle croyait avoir vaincu ses complexes, Julie s’était brusquement sentie mal à l’aise. Pierre, son chef de département, n’avait pas cherché de prétexte et y était allé franco, droit sur sa cible qu’il avait atteinte de plein fouet. Les tétons de Julie avaient été pris d’une raideur cadavérique. Un cadavre plutôt chaud, chaud comme le jus qui venait brusquement de lui envahir la chatte. — Merci, c’est gentil. « Quelle conne ! » avait-elle pensé. « C’est tout ce que tu trouves à dire ! » — Ça vous dirait de prendre un verre plus tard ? Et voilà, c’était reparti. Mais cette fois elle hésitait. Et si c’était lui après tout ? Elles avaient été nombreuses à essayer, mais cela ne voulait rien dire après tout. Au fond d’elle-même, elle ne voulait pas y croire. Son « YNot » ne pouvait pas, ne devait pas être un homme marié, un petit voyeur pervers matant les autres femmes avant de rentrer rejoindre la sienne, la queue entre les jambes, souillée de ses fantasmes. — Êtes-vous « YNot » ?— Je vous demande pardon ?— Êtes-vous « YNot@hotmail. Com », ce n’est pas compliqué non ?— Heu… qui est « YNot » ...
    ... ?— C’est bon, j’ai compris.— Vous… vous avez compris ? Vous en avez de la chance.— Ce n’est pas grave, laissez tomber.— Bon d’accord, et… pour ce soir ?— Désolé, j’ai déjà un rendez-vous. « Quelle idiote ! Bon Dieu, quelle idiote ! » Elle venait de remballer son patron, en lui balançant une histoire dont il n’avait probablement aucune idée. Décidément, cette aventure commençait à la rendre folle. Comme prévu, et après avoir repoussé plus d’une demi-douzaine d’invitations, elle avait retrouvé Nadia à la fin de la journée pour une virée shopping. Elle avait pris soin de remettre sa petite culotte, ne tenant pas vraiment à ce qu’on lui mate le cul sur les remontées mécaniques et encore moins le con, si elles décidaient d’essayer quelques paires de chaussures. Son amie l’avait quasiment forcée à acheter toute une collection de strings plus affriolants les uns que les autres, elle qui avait jusqu’ici toujours refusé de porter ce genre de sous-vêtements qu’elle trouvait avilissant et qui transformait la femme en objet de consommation masculine. — Eh bien moi, je préfère consommer que d’être consommée. Et pour consommer, il faut y mettre les formes, crois-en mon expérience. Tiens, prends celui-là aussi. Un petit string noir en dentelle, fendu sur le devant. — Mais tu es folle ! Il n’est pas question que je mette ce genre de chose.— Viens. Elle l’avait entraînée dans une des cabines de la boutique et, avant qu’elle ne puisse dire ou faire quoi que ce soit, avait relevé sa robe et ...
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