1. Vous avez un message


    Datte: 27/05/2021, Catégories: fh, ff, frousses, inconnu, Collègues / Travail cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme fgode, pénétratio, double, fdanus, jeu, BDSM / Fétichisme yeuxbandés, fouetfesse, initiatiq,

    ... évidemment ! C’est horrible cette culotte ! Tu l’as héritée de ta grand-mère ou quoi ?— Nadia ! Son amie avait une nouvelle fois réussi à attirer les regards des autres clients vers la pauvre Julie qui s’était brusquement rassise avec le feu aux joues. — Tu veux bien parler plus bas, s’il te plait !— OK, OK ! Désolée. Mais bon, qui aurait l’idée de mettre une culotte pareille avec une jupe qui te moule si sensuellement les fesses ?— Mais je n’ai pas de string, je déteste ça.— Eh bien, demain c’est vendredi, nous sortirons plus tôt pour aller faire quelques emplettes ensemble, et pour ce qui est d’aujourd’hui, tu vas me faire le plaisir d’aller m’enlever cette couche-culotte aux toilettes.— Mais tu es folle ! Il n’en est pas question !— Mais pourquoi bon sang ? Qui le saura, à part toi, moi, et ton mystérieux admirateur bien sûr ? Ce sera notre petit secret à tous les trois. Tu ne trouves pas ça excitant, toi ? Allez, viens. Sans lui laisser le temps de réagir, Nadia l’a entraînée vers les toilettes de la galerie commerciale avant de s’enfermer avec elle dans une des cabines. Julie était comme paralysée en sentant les mains de son amie remonter le long de ses cuisses, saisir sa culotte « Petit Bateau » avant de la descendre brusquement sur ses chevilles, puis de remettre la jupe place, en caressant sensuellement la rondeur parfaite de ses fesses. — Voilà, c’est infiniment mieux comme ça. Tu verras, le frottement de la jupe sur les fesses nues est particulièrement agréable. ...
    ... Sans parler des délicats courants d’air qui vont venir caresser ta petite chatte frémissante. Tu vas adorer !— Tu es folle ! Julie avait dû se rendre à l’évidence, son amie avait raison. Elle avait passé l’après-midi sur un nuage, comme portée par une énergie nouvelle et délicieusement excitante. Elle en était presque arrivée à oublier « YNot », enivrée par le fait qu’elle avait pour la première fois repoussé ces barrières qu’elle avait construites autour de sa vie amoureuse. Elle avait l’impression que sa chatte respirait à nouveau. D’une respiration qui se faisait de plus en plus présente à mesure que l’après-midi avançait, jusqu’à en occuper son esprit tout entier. Une respiration de plus en plus chaude, de plus en plus humide, menaçant d’exploser à tout instant. Cette fois, elle n’avait pas pris la peine de se rendre aux toilettes. Le dos appuyé à la porte fermée de son bureau, à l’abri des regards, elle avait remonté sa jupe sur son ventre, glissant sa main entre ses cuisses et ses doigts entre les lèvres trempées de sa chatte. Elle a fini par jouir, longuement, intensément, en se mordant les lèvres pour étouffer ses gémissements. Alors que la journée tirait à sa fin, son admirateur s’était une nouvelle fois manifesté. Un message constitué d’un seul et simple mot : — Merci. Julie avait souri. — Tu veux boire un verre ? C’était John, un des gars avec lesquels elle avait un peu flirté la veille. Plutôt pas mal d’ailleurs. La trentaine, un mètre quatre-vingt, une épaisse ...
«12...567...25»