1. Vanessa (3)


    Datte: 27/05/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... pas si Papa reste un peu ? — Non, bien entendu… Répondit Daniel — Évidemment, ma Chérie, ajouta Odile. De toute façon tes parents ont toujours été les bienvenues ici. Tu le sais, Jacques. — Euh, oui mais qu’est-ce que tu entends par rester un peu ? — Et bien, quitte à pousser le bouchon un peu loin, j’ai dit à Maman que, puisqu’ils t’avaient viré ce soir, il était hors de question que tu rentres sans qu’elle soit venue jusqu’ici pour te chercher et te faire des excuses devant moi. J’ai aussi dit à Bruno que j’attendais les siennes mais je leur ai interdit de pointer leur nez ce week-end, je suis beaucoup trop en colère pour les voir. Et toi, mon Papou d’amour, tu me promets de ne pas aller à la maison, de ne pas les appeler et de refuser de leur parler s’ils ne respectaient pas mes ordres de nous foutre la paix. Dit Karine en grimpant de face sur les cuisses de son père. Je vais m’occuper de toi et ça commence par ça. Karine chevauchant son père, à genoux sur le canapé, les cuisses bien écartées, lui attrapa le visage à deux mains et lui roula une pelle magistrale. La surprise passée, Jacques répondit au baiser et laissa ses mains se promener dans le dos de sa fille et vers ses fesses. Vanessa reprit place dans son fauteuil roulant et Daniel s’écarta également. Le traiteur arriva à point nommé pour leur donner une bonne raison de quitter le salon. Daniel enfila un peignoir pour aider Odile à transporter les victuailles vers la cuisine où Vanessa alla les retrouver. Tous ...
    ... trois voulaient laisser le plus d’intimité possible au couple incestueux naissant. Dans le salon, Jacques embrassait sa fille avec de plus en plus de fougue et sa bite durcissait contre son ventre de Karine. Ses mains n’avaient véritablement accès qu’à son cul et il désirait découvrir le reste de son anatomie féminine. Il l’allongea sur le canapé et s’agenouilla au dessus d’elle, sans cesser de l’embrasser, et puis sa bouche descendit sur le menton, le cou, la gorge et les seins qu’il téta et suça avec gourmandise. Il s’y arrêta un moment, jouant de la langue sur les tétons gonflés et les mordillant avec douceur ; sa progression était lente et très sensuelle. Il passa ensuite au ventre, au nombril et sur le pubis glabre, fraichement épilé par Odile. Karine se tordait, soulevait son bassin pour exprimer son désir de sentir enfin cette bouche goûter à son abricot juteux. Elle releva les genoux et écarta largement ses cuisses en passant ses mains dans la chevelure blonde de son père. Son menton barbu excitait son clitoris et elle avait envie qu’il la lèche vraiment, qu’il suce son bouton. Elle voulait sentir sa langue jouer avec les replis de sa vulve, s’enfoncer dans son vagin et lécher aussi, si elle le souhaitait, son trou du cul alors, elle appuya doucement sur sa tête pour l’amener où elle voulait. Le coquillage nacré de Karine débordait d’humidité, ses petites lèvres bien roses s’écartaient sous la langue de Jacques et son clitoris dépassait légèrement du capuchon. Elle gémit ...
«12...456...»