Ma soeur Julie : starlette en devenir (1)
Datte: 27/05/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Note : Suite à des complications avec le deuxième chapitre initialement prévu (qui a été refusé), le récit s’écarte maintenant totalement de l’histoire originale. Ceci est donc une suite directe de « Ma sœur Julie » que je vous invite à lire pour comprendre ceci. Nous reprenons le récit au moment où notre protagoniste, après avoir été obligé de se masturber devant sa sœur de dix-huit ans, cède aux caprices de cette dernière et accepte qu’elle essaye à son tour de le polluer. Je me ravisai et m’allongeai sur mon lit, cul nul, ma petite sœur à genoux sur le matelas à ma droite. La curiosité se lisait dans ses yeux légèrement en amande. En effet notre père est breton et notre mère est marocaine. Ma sœur paraissait avoir pris le meilleur des deux mondes : un teint un peu hâlé, de longs cheveux noirs, de petites mains fines… Cependant elle hérita de mon père des yeux d’un vert pétillant. De mon côté, je ne ressemblais quasiment qu’à mon géniteur. Julie toisa la colonne de chaire, comme une chatte découvrant un nouveau jouet. Elle approcha alors sa main de ma verge de manière un peu hésitante. -« Je la prends et la secoue? » me demanda-t-elle. -« Euh ouais… » Au contact de ses doigts, j’eus un mouvement de recul. Ma bite redevenait raide malgré mon orgasme récent. Elle l’empoigna comme un manche et entama des vas-et-viens maladroits, mon sperme agissant comme lubrifiant. -« Tu me dis si je te fais mal hein ? » J’acquiesçais, me concentrant sur la caresse que me prodiguait ma ...
... frangine. Celle-ci avait approché son visage de l’action comme si elle effectuait un travail de haute précision. J’avais du mal à réaliser la situation : le même soir, je m’étais masturbé devant une fille et me faisait branler aussi… par ma propre sœur! J’étais conscient du tabou de la chose mais, au fond de moi, mes désirs primitifs m’avaient empêché d’imposer trop de résistance à Julie. En fin de compte, c’était le premier contact sexuel de ma vie. Sa petite main vernie de blanc coulissait de plus en plus aisément sur ma hampe, son index m’envoyant une petite décharge électrique en chaque fin de course lorsqu’il frottait la couronne de mon gland. Nous étions tous les deux absorbés par l’acte : les petits bruits visqueux, mon gland maintenant totalement découvert, mon méat béant, sa main gauche posée sur mes abdos pour prendre appui, l’autre maintenant luisante… Julie se redressa alors soudainement et, gardant ma tige à la main, s’empara de son smartphone. Il faut préciser que ma sœur est totalement obsédée par les réseaux sociaux, se prenant en photo plusieurs dizaines de fois par jour et documentant ses moindres faits et gestes sur instagram et facebook : elle est jolie et elle le sait. Elle positionna alors son portable de manière à prendre un selfie. -« Wow attends Julie ! T’es malade ?! » -« Calme toi… t’es pas dessus. » -« Si c’est pour ce que je pense tu pourras jamais poster ce genre de photos… » Elle resta pensive un instant, continuant sa branlette. -« Peut être, mais ...