Une aventure étonnante
Datte: 27/05/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
alliance,
cérébral,
Oral
amourcach,
bellemere,
... paniqué mais j’essaie de ne pas trop le faire paraître. La porte se referme et ses deux bras m’enlacent aussitôt. — Comment me trouves-tu ? me demande-t-elle dans le creux de l’oreille.— Tu es magnifique et très attirante, Juliette !… Ses lèvres se posent aussitôt sur les miennes, nos langues se rencontrent dans ce premier contact amoureux. Elle semble déchaînée. Sa langue tournoie à une telle vitesse que j’ai du mal à respirer. — Vas-y Alain, touche-moi ! Qu’est-ce que tu attends ? Mes mains s’exécutent aussitôt, glissant et allant à la rencontre de son corps. La pression de sa poitrine me provoque très rapidement une forte érection. Je reste plaqué contre elle et les ondulations produites par son bassin ne tardent pas à faire leur effet. Mon désir est au maximum. J’ai vraiment à présent envie de la baiser, de jouir de son corps. Tous les tabous se sont envolés. Ses doigts s’affairent sur les boutons de ma chemise. Un à un, ils se défont, laissant apparaître mon torse. Elle s’empresse d’embrasser la moindre parcelle mise à nu. Ma ceinture de pantalon suit aussitôt, et en quelques secondes, je me retrouve en caleçon devant elle. J’essaie de la dévêtir mais ce n’est pas évident car elle semble déchaînée sur mon corps. Enfin, après de multiples efforts, sa robe finit par tomber à ses pieds. J’ai contre moi, une femme en soutien-gorge et slip. Ma foi, je ne suis pas déçu, elle est encore très belle pour ses 58 ans. Dire que ça fait des années que je fantasme sur elle, que je ...
... me masturbe quelques fois en pensant à elle, mon rêve devient réalité, je n’arrive encore pas à y croire. Le temps l’a magnifiquement bien préservée, bon sang, qu’elle est bandante !… Le soutif a l’air bien rempli. Je me suis souvent demandé quelles pouvaient être ses mensurations mammaires : 95 C ou D ?… Là, j’étais aux premières loges, pouvant palper, toucher, pétrir ses gros obus à travers le soutien-gorge. Après quelques difficultés pour enlever ce rempart de tissu, deux magnifiques globes de chair m’apparaissent. Ouah ! Qu’ils sont beaux et désirables. Je m’empresse aussitôt de les goûter, les lécher, les pétrir. Ses aréoles sont assez larges et foncées. Ses bouts de seins sont relativement gros, comme je les aime. Je les aspire, les mordille, les faisant rouler autour de ma langue. Elle a vraiment de très beaux « nibards » qui malgré les années se tiennent encore très bien. Mon sexe commençait vraiment à me faire mal. Mon érection était au paroxysme et le gland butait contre la ceinture de mon caleçon provoquant un début d’irritation. — Mon pauvre chéri, il faut que je m’occupe de toi, que je libère ton oiseau qui ne doit plus pouvoir supporter d’être enfermé dans sa cage. Elle s’agenouilla et de ses deux mains, fit glisser ce rempart de tissu. Comme dans ces boîtes magiques où l’on voit la marionnette d’un petit clown sortant de sa boîte en exécutant un léger balancier, mon sexe gonflé par le désir lui atterrit sur le visage, semblant la défier. — Oh, qu’il est beau ! ...