L'étalon aiguille (Tome 2) (9)
Datte: 27/05/2021,
Catégories:
Transexuels
... bouche vint se coller à la mienne et je sentis sa langue s’insinuer entre mes dents tandis qu’il continuait à caresser tout mon corps. Tout en nous maintenant étroitement enlacés, il nous fit rouler sur le lit en me murmurant à l’oreille : — Tu es belle, Sam… très belle ! Je sais pas d’où tu tiens ce corps, mais, crois-moi, ça fait un max’ d’effet au mec que je suis devenu… — D’où veux-tu que je le tienne, sinon de Lydie? — Tu n’es qu’une sale petite flatteuse… Déjà, je sentais le poids de son corps sur moi. Déjà, sa main s’insinuait entre mes cuisses ouvertes. Déjà, je sentais ses deux doigts écarter mes grandes lèvres. Je lui soufflai "Attends ! Pas trop vite, s’il te plaît…". Il diminua la poussée de ses reins et je pus alors prendre une grande inspiration. J’étais arrivée "au bout de mes rêves", dans moins d’une minute, j’allais vivre l’amour coté femme. Son gland était toujours positionné à l’orée de mon vagin, mais il attendit néanmoins quelques instants que ma respiration se soit apaisée. Alors, lentement, mais inexorablement, il se remit à pousser. Sa verge glissait sans efforts et je poussai un cri au moment où elle franchit la barrière de mes petites lèvres. Instinctivement, j’écartai encore un peu plus mes jambes pour qu’il parvienne au plus profond de moi. Accroché à mes épaules, il se mit à me pistonner lentement tout en mordillant mon épaule et mon cou. Ses mouvements s’accéléraient petit à petit, ses soupirs devenaient plus rauques et tout son corps se ...
... raidissait, à l’image de son phallus planté en moi. Je sentais moi aussi le plaisir monter et j’enroulai mes jambes autour de ses hanches. Il caressait ma poitrine, faisait jouer mes tétons entre son index et son majeur et m’embrassait à pleine bouche sans pour autant cesser de faire bouger son bassin. Parfois, il me décochait un coup de rein rageur qui me faisait pousser un cri plus sonore au moment où son pubis venait heurter ma vulve. Puis il prenait sur lui pour canaliser cette tempête qui cherchait à l’emporter. Malgré tous ses efforts, au bout d’une dizaine de minutes, il s’arc-bouta encore un peu plus avant de se laisser retomber sur moi dans un gémissement et d’enfouir sa tête dans mon cou. Je compris qu’il venait de jouir. Toujours accrochée à lui comme un koala à sa branche, je mordillai le lobe de son oreille et lui dis : — Merci, ça y est… Maintenant, je peux mourir ! — A ce point? Je suis à ce point formidable??? — Non, j’exagère peut-être un peu, mais sans rire, je me demande ce que je pourrais connaître maintenant comme sensation plus forte ! — C’est sûr que ce qu’on vient de vivre, c’est pas courant ! Ça t’a plu? — Oui… Beaucoup ! Et toi? — Moi aussi. Ce qui change le plus, c’est la manière dont le plaisir monte, mais au bout du compte, l’important, ça reste de prendre son pied, non? — Tu l’as dit Didy ! Je reposai mes jambes sur le matelas et il se retira de moi. Il roula sur le coté et je me redressai sur un coude. Ma main caressa son torse et descendit entre ses ...