1. Christelle assume tout !


    Datte: 28/05/2021, Catégories: ff, ffh, fbi, Collègues / Travail hsoumis, fdomine, humilié(e), hféminisé, Transexuels hsodo, yeuxbandés,

    ... à Bertrand. Elle met la main derrière la nuque de mon ancien homme et l’oblige à sucer le phallus sur toute la longueur. Bertrand fatigue mais Mélanie ne le laisse pas ralentir. Pendant ce temps je suis allé chercher un peu de crème et pendant la fellation de mon mari je commence à préparer ses petites fesses. J’avoue que même si la situation est excitante j’éprouve un peu de compassion pour Bertrand. Il n’a jamais été pris par là. Quand je commence à le préparer avec la crème, il se raidit alors je le caresse tout doucement. Et progressivement j’insère un doigt, puis deux, ça y est : l’étau commence à se desserrer. Mélanie fait stopper la fellation de Bertrand. Elle me dit : — Ce serait encore mieux si on lui bandait les yeux, tu ne crois pas ?— Bonne idée. Je pars chercher une écharpe. Je la place sur les yeux de mon mari. Je vois son regard paniqué. Je me sens bien et je ne lui réponds que par un regard particulièrement froid. C’est alors que Mélanie, sans faire de bruit, détache le gode ceinture et me le tend. Sans dire un mot, elle me fait comprendre que c’est à l’épouse d’assurer le devoir conjugal. J’attache le gode à mes hanches. Je regarde mon entrejambe. Je suis un garçon et je vais prendre possession des fesses de mon mari. J’ai envie de rentrer tout de suite en lui, mais mes années d’épouse me font aller plus doucement. Néanmoins, malgré la douceur de mon entreprise, la taille du gode fait mal à Bertrand et il demande d’arrêter, mais je n’en ai pas l’intention. ...
    ... Le gode est entré aux deux tiers. J’ai envie de sentir ma peau contre la sienne. Je pose mes mains sur ses hanches. Puis je mets mes mains sur sa poitrine. Je le sens fébrile. Je lui caresse les tétons. Je continue de m’enfoncer en lui. Je mets une main sur son sexe et le branle à fond. Ça y est : je suis entièrement en lui. Je profite de ce moment, je ferme les yeux. Je veux le finir. Je me sens bien. Si j’avais su que cela m’aurait donné tant de plaisir. Je rouvre les yeux et je vois Mélanie. Je lui dis : — Viens sur le lit, j’ai envie de toi très fort. Elle s’allonge près de moi. — Tu te laisses faire Mélanie ? Tu vas me laisser te faire l’amour ?— Oui, tu as dépucelé ton homme avec une telle maîtrise que j’ai envie d’en profiter à mon tour. Je t’aime, Christelle, et j’ai envie que tu fasses de moi ce que tu veux Ces mots dits, je me sens forte. Je mets Mélanie à quatre pattes et je décide de la prendre en levrette. J’avais déjà imaginé cette scène en accomplissant mon devoir conjugal avec Bertrand. Je ferme les yeux une nouvelle fois et savoure mes va-et-vient dans son bas-ventre. Je me penche en avant pour rentrer encore plus profondément en elle. J’approche mes lèvres de son oreille. Doucement, je glisse mon souffle chaud dans le pavillon, ce qui la fait légèrement frissonner. Je pose ma main sur son sein, que je sens gonfler, s’épanouir. Sa respiration se fait plus forte et s’accélère quelque peu. Elle me dit : — Mets-toi sur moi, je veux sentir tout ton corps sur moi. ...