1. Quand Jean devient Jeanne avec de l'aide


    Datte: 29/05/2021, Catégories: hbi, hplusag, hépilé, danser, fdomine, soubrette, hféminisé, Oral hdanus, hsodo, init, Transexuels

    Jean adore se travestir, et chaque fois que Caroline s’absente à l’étranger pour son travail, Jean trouve refuge dans le dressing de Caroline et enfile ses plus beaux sous-vêtements, robes, collants ou bas et chaussures à talons. Une fois habillé, Jean se maquille et se parfume si bien que l’illusion est parfaite, et Jean devient Jeanne la Sissy. C’est ainsi qu’il se sent bien dans sa peau, et aime passer des heures, accoutré ainsi, en se regardant avec fierté dans le miroir. Il est si bien dans la peau de Jeanne qu’un jour il oublia que Caroline rentrait le jour même, et se rendit compte de son oubli quand la clé tourna dans la serrure. Il se sentit défaillir. Que faire ? Trop tard ; Caroline, valise à la main, tomba nez à nez avec lui. — Eh bien, eh bien, qu’avons-nous là ? Comme ça, tu empruntes mes affaires, dit-elle, amusée. C’est une transformation très réussie ; félicitations, mais il manque la touche féminine qu’il va falloir que j’apporte. Jean ne savait plus où se mettre, et sa pose, tête baissée, mains jointes dans le dos et les pieds rentrés l’un vers l’autre comme une écolière en faute fit éclater de rire Caroline. Elle prit son portable et fit rapidement une série de clichés compromettants. — Pour mes archives ! lui dit-elle. Tu es conscient que si je le veux, tout le monde va le savoir ; aussi il va falloir faire tout ce que je te dis, tu as bien compris ? Jean acquiesça d’un petit hochement de tête. Dans son cerveau tout se mélangeait, honte, excitation, il ...
    ... ne savait plus. — Bien, très bien ma petite Jeanne ; tu vas devenir ma Sissy, une bonne servante bien dévouée à ma personne. En échange, je vais te procurer des tenues et plein de petites choses affriolantes dont tu ne saurais rêver. Mais pour l’instant, prépare-toi : ce soir nous sortons entre filles !— Dans… dans la rue, habillé comme ça ? Il hésita un instant, puis voyant les yeux de Caroline se froncer, dit par dépit : — D’accord, Caroline.— Appelle-moi « Maîtresse », mon chou !— B… bien, Maîtresse.— Excellent, je sens qu’on va s’amuser comme des folles. Caroline et Jeanne se préparaient, ou plutôt Caroline jouait à la poupée avec Jeanne, lui faisant essayer des tenues plus sexy et plus mignonnes les unes que les autres. Caroline opta pour une robe longue, mais Jeanne n’eut droit qu’à la robe courte. Plus tard, elles sortirent de la voiture et montèrent les marches vers la réception qui les attendait. Inutile de dire que Jeanne pensait, à chaque pas qu’elle faisait, à ne pas se tordre les chevilles avec ses talons hauts. Elles entrèrent ; quelques visages se tournèrent vers elles, et Jeanne sentit le rouge lui monter aux joues : il en était persuadé, les gens savaient que c’était un homme. Caroline lui passa une main dans le dos et tout en l’entraînant vers le bar, lui chuchota à l’oreille : — Tu es très excitante, ma chérie. J’ai vu quelques hommes te regarder avec envie ; si tu te débrouilles bien, tu vas repartir avec un rendez-vous galant, hi-hi ! Jeanne/Jean… Tout ...
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