1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°713)


    Datte: 29/05/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... agenouillés par terre, tous enchainés entre eux par les pieds. Leurs mains sont toutes attachées dans le dos. Parfois, quelques Dominants s’intéressent à eux, ils viennent tâter et flatter une croupe, presser un mamelon ou une paire de couilles, puis repartent discuter. Ma bouteille de champagne est vide, vite je repars en cuisine d’un pas pressé. Je longe le long couloir, passe devant un petit local où discutent deux ou trois Dominants, quand soudainement une main me happe et me pousse à l’intérieur de ce local obscur. Plaqué debout contre un mur, je comprends très vite que ceux qui m’ont attiré et entrainé ici exige me voir faire tout autre chose que du service. Des mains me frôlent, me caressent, m’imposent une posture sans équivoque. Je vais me faire prendre, là, debout, deux doigts sont déjà dans mon cul. Très vite une bite remplace ces deux doigts, appuie tout contre mon anneau et me pénètre gaillardement et profondément. Je geins sous la pression, mais au diable mes plaintes, on me fait reculer puis incliner et pour étouffer mes gémissements, une grosse queue glisse dans ma bouche et s’installe en fond de gorge. J’étouffe ! - Oh qu’il est bon ce cul, j’en gardais un souvenir ...
    ... extraordinaire. Dès l’instant où je t’ai revu salope, j’ai eu immédiatement envie de te sauter ! Tels sont les mots de mon enculeur. Il me burine le cul, s’enfonce et ressort tout en me fessant joyeusement. - Tu la reconnais ma queue grosse salope ? La queue non, mais cette voix me dit bien quelque chose … - Il faut dire que tu en prends tellement souvent des queues, petite putain ! L’homme me laboure le ventre, va et vient copieusement et généreusement… Un frison m’irradie l’échine… La queue que j’ai dans la bouche se retire, une main s’agrippe à mes cheveux et relève ma tête. Une claque tombe sur mon visage. - Lorsqu’on te parle chien, tu réponds, ton trou de lope reconnait-il celui qui t’encule ?. - Non Monsieur… Alors celui qui me prend me fesse violemment tout en m’enculant sévèrement. - Je suis déçu, vraiment petite chienne, pourtant ton cul j’en ai usé et abusé… dans un grand hôtel New Yorkais… Je commence subitement à réaliser et souhaite m’exprimer, mais ma bouche est de nouveau encombrée. Je me fais ramoner de tout coté…. - Je suis l’Emir Abdallah salope, je suis sûr que tu vas pour toujours te rappeler de mon membre, je vais te défoncer comme une chienne, salope !… (A suivre…) 
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