TGV - Histoires de Sexe

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... rangées libres ; je n’ai pas hésité longtemps, me suis levé, et je suis allé lui dire salut comme si nous nous connaissions, pour avoir l’air naturel vis à vis des autres passagers. Puis je l’ai invité à venir s’asseoir au dernier rang à côté de moi. Nous avons tout de suite repris nos activités de la semaine précédente avec plus d’ardeur, toujours cachés par nos pulls, mais sans traîner pour ouvrir nos pantalons et dégager nos sexes. Il y avait un jeune sur la banquette opposée et je ne suis pas sûr qu’il ne s’est aperçu de rien, d’autant plus que je me suis risqué à sucer mon nouvel ami, très vite mais bien ; j’en avais trop envie. Puis on a continué a se tripoter et à se branler. On a fait durer le plaisir au maximum avant de jouir comme la première fois. Nous avons un peu discuté ensuite et William m’a appris qu’il venait d’avoir 20 ans et était étudiant. C’était comme pour moi, la première fois qu’il faisait ça dans un train mais qu’il avait déjà eu une ou deux expériences notamment avec son dentiste. Il avait l’air tendre et timide et était vraiment beau, mince, les cheveux noirs, un beau sourire, vraiment craquant. En arrivant à Nantes, cette fois j’avais prévenu que je prendrais un taxi. J’avais donc un peu de temps. Je ne sais pas comment c’est venu, ni qui de nous deux a proposé mais nous sommes descendus au 3eme sous-sol du parking et là dans un coin sombre, je l’ai embrassé avec fougue, je l’ai caressé, mes mains parcourant son corps, ...

... les siennes s’attardant sur mon sexe. Je l’ai très vite à moitié déshabillé, et, à genoux à ses pieds je me suis mis à le sucer goulûment. Quel pied d’avoir sa jeune queue raide et dure dans la bouche ! Lui ne se retenait pas, je l’entendais soupirer et gémir de plaisir. Je léchais son gland, le pompait, avalais sa verge, le branlais, lui léchais les couilles que je gobais une après l’autre tout en lui caressant les fesses ou le torse. Puis je me suis levé pour l’embrasser de nouveau, nos pantalons à nos pieds, nos sexes se frottant l’un contre l’autre. Il m’appartenait et s’abandonnait dans mes bras. Il s’est baissé à son tour pour me faire une pipe. Je ne sais pas si c’était la première mais il était très doué et j’avais envie de hurler de plaisir. Je me suis retenu aussi longtemps que possible mais j’ai senti le plaisir monter en moi. Je l’ai prévenu juste avant que mon sperme n’éclabousse la voiture qui nous protégeait. Je ne sentais plus mes jambes. Je me suis appuyé des deux mains sur le capot devant moi et je l’ai laissé venir se coller derrière moi. Nous n’avions pas de préservatif mais il a mis sa queue entre mes cuisses, je les ai serrées et il a remué contre moi en un simulacre de baise jusqu’à jouir à son tour en m’embrassant le cou. Nous sommes restés un moment enlacés sur la voiture avant de reprendre nos esprits. Avant de le quitter et avec son accord j’ai pris le numéro de téléphone de la cité U avec une ferme envie de le revoir encore.