-
Une auberge accueillante.
Datte: 07/11/2017, Catégories: Partouze / Groupe
... autoroute avec les aires de services. Je suis donc contraint de trouver un petit bois avec un chemin où engager la voiture pour avoir un endroit discret. Je me tiens à quelques mètres d’Emmanuelle pour la prévenir d’une éventuelle arrivée intempestive lorsqu’elle m’appelle : • Gilles ! Viens voir ce que j’ai trouvé ! Quelle n’est pas ma surprise lorsque je m’approche ! Emmanuelle a sa courte jupe troussée en haut des cuisses et elle caresse sa chatte avec envie en passant sa main entre les lèvres intimes : • Viens ! Nous n’avons fait l’amour qu’une fois mais là, je n’en peux plus ! J’ai envie d’une belle queue en moi ! Çà faisait bien longtemps que je n’en avais pas eu et j’ai bien vu les coups d’œil que tu glissais sur mes cuisses… Tu dois avoir envie aussi ! Je lui réponds aussitôt : • OH oui ! Çà c’est sur ! çà me fait très envie de faire l’amour à une belle femme comme toi ! Sois tranquille, je vais te satisfaire ! Et tout de suite en plus. Je retourne rapidement jusqu’à la voiture où je prends un plaid avant de rejoindre Emmanuelle qui s’est enfoncée un peu plus dans les fourrés où elle m’attend, son sweatshirt enlevé laissant voir ses seins menus : • Pas besoin du plaid ! Tu vas me prendre debout appuyée contre un arbre ! J’ai envie à la sauvage ! Je prends Emmanuelle par la taille en lui disant : • Pas de problème, si c’est ce que tu veux, fais gaffe à tes fesses. Et je la fait pivoter et s’appuyer contre le tronc d’un arbre en sortant ma bite de mon pantalon. Je ...
... bande comme un taureau en rut tant ces fesses me font envie, rondes et fermes, c’était un appel que je ne veux pas négliger. Rapidement je me colle contre elle, j’ouvre la raie d’une main et d’un coup de reins, je glisse ma queue tout au fond de sa chatte qui est humide et chaude d’envie : • Tiens ma belle ! Tu veux ma bite et bien tu l’as ! Tu la sens ? Et aussitôt Emmanuelle s’écrie : • Oh oui ! Défonce-moi ! Je ne me le fais pas dire deux fois ! Lorsque nous avons fait l’amour la première fois, j’ai quelque peu épargné Emmanuelle en la prenant à la missionnaire dans une obscurité relative. Mais là en plein jour, l’envie d’honorer une jolie femme me tenaille et c’est sans retenue que je la baise à longs traits. Je remonte une de mes mains jusqu’aux seins de mon amie et doucement je fais rouler les tétons entre mes doigts. L’autre est appuyée au creux des reins et je la fait courir le long de la colonne vertébrale. Je baise Emmanuelle avec vigueur, mon ventre claque contre ses globes charnus à chaque fois que je me projette au fond de sa chatte qui est de plus en plus humide. Çà n’a rien à voir avec notre première séance d’il y a presque un mois. C’est presque violent ! L’un comme l’autre, nous ne sentons pas la fatigue de la route et au moment où la jouissance déferle chez ma maîtresse, je lance quelques jets de sperme qui vont frapper tout au fond et Emmanuelle s’écrie : • Oh oui ! Jouis en moi ! C’est si bon de te sentir gicler comme çà ! Qu’est ce que tu me mets ! Je reste ...