Banquière perverse (14)
Datte: 29/05/2021,
Catégories:
Hétéro
... Nous avons terminé notre repas. Nous rentrons nous préparer car ce soir nous assisterons à une réception avec des clients huppés. Cette fois, je devrai me comporter en amoureux, et pas question de passer inaperçu ! Après une bonne douche au calme, je prépare mes vêtements. Lors de nos emplettes, comme elle dit, elle m’avait acheté des strings. J’en enfile un, il me fait un énorme paquet et encore plus dans mon pantalon de costar serré ; je pense que toutes les nanas vont me mater le matos, et peut-être que... Elle veut être remarquée pour faire plaisir aux clients, où plutôt les attirer dans ses filets ? Je ne sais pas. Pendant qu’elle se prépare, installée dans son dressing de la taille d’une chambre à coucher, mais remplie d’étagères et de tout le nécessaire pour être parfaitement apprêtée. Outre la coiffeuse avec son miroir et son éclairage digne d’une loge d’artiste est recouverte de pots, dans lesquels peignes, brosses et autres ustensiles de formes bizarres se dressent bien rangés côte à côte. Sur des étagères sont rangés au garde-à-vous des tubes de rouges à lèvres et de fond de teint et autre Gloss. Elle s’affaire, nue, choisit ses sous-vêtements et m’informe : — Ce soir il faut être sexy, toi tu seras bien avec ce pantalon un peu serré. — Justement, il n’est pas un peu serré ; il est Très serré ! — Mais non, il est parfait ; on voit bien que tu es bien équipé ! À ce propos si une femme te fait des propositions, tu n’hésites pas. Tu y vas, car cela peut aussi avoir ...
... des conséquences sur certaines décisions, tu me comprends ? — Donc tu me demandes de faire la pute ? — Tu n’y es pas du tout, je te parle de relations commerciales pas de chose illégale ; vois-tu, nous sommes dans le grand monde ! Et de toutes façon tu ne vas pas me faire croire que si une belle nana et bien gaulée te demande de la fourrager… — La quoi ? — La fourrager, la sauter si tu préfères ; tu ne refuseras certainement pas ! — Et toi, tu t’en fous ? — Complètement, je ne t’interdis pas de te faire plaisir si tu en as envie. — Pourtant avec Gladice… — C’est différent… Bon dépêchons-nous. Nous allons être en retard. Elle vient d’enfiler un string dont la ceinture a disparu instantanément dans ses bourrelets et la ficelle dans son cul. Il ne reste plus que le minuscule triangle de tissus noir qui tente de cacher comme il peut son pubis fraichement épilé. La voici aux prises avec un soutif aussi noir que le triangle de tissus qui se barre discrètement dans un pli de son haine. Elle le remet en place en maugréant. Après avoir retourné la presque totalité de son impressionnante garde-robe, elle finit par jeter son dévolu sur une robe rouge qui me parait bien courte. Elle l’enfile à la façon d’un ver de terre entrant dans son trou, et l’ajuste ; ma prédiction s’avère exacte : la robe est très courte ! Si courte qu’en se baissant en avant, elle vient de me montrer son gros cul. Je termine de me préparer et me rends à la cuisine car j’ai un peu soif ; sans doute que la langue de ...