Banquière perverse (14)
Datte: 29/05/2021,
Catégories:
Hétéro
... brunette d’à peine vingt-cinq ans je pense, avec son joli buste bien ferme dont les seins n’ont pas besoin de soutif. J’ai aussi vue sur ses cuisses presque complètement découvertes à cause de la minijupe qu’elle porte à merveille et qui remonte très haut. En homme galant, je lui avance sa chaise au moment de s’assoir. Nous engageons la conversation et échangeons quelques banalités. Après avoir parlé de la pluie et du beau temps il me pose une question assez déroutante. — Dis-moi, la grosse à côté, c’est ta copine ? — …Euh, à vrai dire c’est plus ma… — Ouais ! T’es un gigolo, quoi ! — Bah…oui… — Regarde le vieux à côté de moi, c’est pareil ; il m’entretient et il me baise, enfin quand il y arrive. C’est cool de se faire entretenir, c’est la vie rêvée, non ? Tout en parlant, elle pose sa main sur ma cuisse et me caresse. — Vas-y, te gènes pas tu peux toucher aussi, c’est gratis ! m’invite-t-elle. « Quelle belle surprise, elle est cash celle-là ! » je me dis. Cette invitation des plus surprenantes vient de me redonner la pêche. Et vu que c’est gratis ! Je pose ma main sur sa cuisse, car je commençais à me faire sérieusement chier dans cette ambiance morose où tout le monde parle fric ; et affaires et encore de fric. Ma petite brunette de voisine qui répond au prénom d’Émilie a la peau douce, un peu comme celle de Gladice ; j’en profite et caresse doucement et discrètement cette cuisse, si gentiment offerte. Elle est plutôt du genre rapide la bougresse car elle me malaxe déjà ...
... le paquet, et me parle à voix basse pour ne pas déranger et ne pas nous faire remarquer : — Eh, dis donc ! C’est à toi tout ça ? Allez caresse-moi, et en plus, je n’ai pas de culotte ! Quelle aubaine ! Je déplace ma main vers l’endroit sans culotte, elle écarte un peu les cuisses, et je touche directement sa fente nue ; elle est si douce et si attirante que je continue mon exploration. Elle ouvre ses jambes encore un peu et me laisse accéder à son petit bijou. Pendant ce temps elle me tripote l’endroit qui l’attire, je commence à espérer que les choses s’accélèrent, car mon pantalon est devenu trop serré tout à coup. — J’ai envie de fumer, pas toi ? m’annonce-t-elle. — Désolé, je ne fume pas, mais vas-y si tu veux. — Tu m’accompagnes ? Dis à ta patronne que tu as besoin de prendre l’air. Elle retire sa main, se lève et se dirige vers une porte donnant sur l’extérieur. — Jelila, je vais prendre l’air ; j’étouffe ici, informé-je. — Tu étouffes ou tu as envie de t’occuper de la petite d’à côté de toi ? — … Sans répondre, je pars rejoindre Émilie. Je franchis la porte donnant vers l’extérieure ; une vague d’air frais me balaye le visage et me fait un bien fou. Je retrouve Émilie courbée en avant, appuyée sur les coudes et les poings sous le menton à une balustrade qui borde l’immense terrasse complètement vide. Sa jupe plissée se soulève au gré du vent et laisse voir la naissance de ses fesses par intermittences, je dois avouer que c’est très sexy. — Tu me parais bien songeuse ? — ...