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Notre notaire confisque ma petite culotte (Episode I)
Datte: 30/05/2021, Catégories: Première fois
Ce matin là je devais me rendre à Neuchâtel pour déposer un nouveau dossier d'inscription. Il y avait également une audition de prévue pour l'après-midi. Mon père n'avait pas pu se libérer pour m’accompagner et il avait demandé à un vieil ami ex associé de mon grand-père de nous conduire. Je dis bien "Nous", car ma sœur Julie était également du voyage et cela me rassurait un peu car je n'aimais pas trop la façon qu'avait ce Monsieur de me reluquer. Notaire à Lausanne, j'ignore comment il en était venu à se proposer pour me conduire à l'HEC depuis Lavigny ou nous habitions. Sur la route, comme j’avais demandé que l’on s’arrête pour faire pipi, Maître Berney était venu me regarder et me caresser alors que j’étais accroupie. Nous avions raté l'aire de repos de Bavois prés du Coudray et il avait dû sortir de l'autoroute pour que je puisse me soulager sur le bas côté derrière une palissade en bois. Il faisait très chaud ce matin là. Dans la voiture j'avais enlevé ma veste d'écolière puis largement ouvert mon chemisier blanc déjà bien décolleté en en nouant haut les pans sous ma poitrine. Ce n’était pas une situation désagréable mais elle me rendait néanmoins un peu honteuse, et c’est peut-être dès ce moment-là que j’ai appris à me sortir de l’embarras en plongeant le visage vers l’entrejambe et en prenant la queue dans ma bouche. Il attendit que je la lui sorte entièrement avant que de me demander d'enlever complètement ma culotte. Je dû me relever légèrement pour m'exécuter ...
... puis ne sachant trop que faire, je la lui tendis. Il l'empocha immédiatement en me demandant autoritairement de reprendre ma position accroupie, jambes écartées, la jupe toujours enroulée autour de la taille. Ensuite, il sortit son mobile et commença à me prendre en photo, sans se soucier le moins du monde de mes protestations. Réalisant la situation, J'avais peur que Julie descende de voiture et nous rejoigne. Je n'avais plus du tout envie mais en suivant ses instructions j'arrivais à lâcher deux trois jets pour le satisfaire. Il avait complètement sorti sa queue et ses grosses couilles aussi. Je n'avais aucune expérience mais comparé à ce que j'avais pu sentir en tripotant deux ou trois fois Julien mon petit copain au travers de son pantalon, le tout me paraissait énorme. Il était de nouveau tout prés de moi, sans réfléchir je tirais la langue et lui donnais un petit coup de lèche sur son gland tout congestionné. Il y eu quelques instants de flottement pendant lesquels je n'arrivais pas à dissimuler mon trouble en découvrant que ce vieux cochon l'avait clairement trois ou quatre fois plus grosse que Julien. Je pensais qu'il allait prendre l'avantage et me soumettre. J'ai honte de le dire mais je n'attendais que ça et je me sentis toute humide lorsqu'il me demanda d'ouvrir la bouche. Sans plus attendre il me l'enfonça d’un coup jusqu'au fond de la gorge. J'étais affolée, j'étouffais et n'arrivais même pas à respirer par le nez. J'attrapais ses couilles à deux mains et je les ...