La princesse Grenouille et le prince Corbeau
Datte: 30/05/2021,
Catégories:
laid(e)s,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
nopéné,
conte,
merveilleu,
contes,
... Le prince se jeta à genoux. — Je vous en supplie, princesse ! dit-il d’une voix où perçait le désespoir. Songez qu’à l’aube je serai mort si vous ne m’aidez pas…— Certes, mais c’est très embarrassant, répondit la princesse. Et puis, êtes-vous bien sûr de m’avoir tout dit ? Qui me dit que vous n’exigerez pas ensuite dieu sait quoi encore, au nom de votre sortilège…— Je vous donne ma parole que c’est là tout ce qu’exige le maléfice qui m’afflige. Je vous prie d’ailleurs de croire que je suis un prince très convenable. De toute façon, vous n’avez qu’à garder à portée de main votre clochette, vous pourrez ainsi appeler vos gens si ma conduite vous déplaît. Finalement, la princesse voulut bien s’asseoir sur son lit en face du prince, les jambes repliées contre elle. Après un peu d’hésitation, elle remonta sa chemise de nuit, puis, la faisant passer sous ses fesses, la ramena autour de sa taille. Le prince la regardait. — Je sais, mes jambes sont grosses, dit la princesse, d’un air plus triste que gêné.— Pas tant que ça lui dit le prince. Pourriez-vous… si vous me permettez de vous le demander… les écarter un peu ? La princesse se sentit rougir. Il se passa un long moment. Finalement, elle entrouvrit légèrement ses cuisses, laissant apercevoir… la plus jolie vulve qu’on ait jamais vue de mémoire de prince. — Comme vous êtes belle, dit le prince.— Quoi ? s’exclama la princesse. Elle regarda le prince. Son visage semblait rayonner de plaisir. — Oh oui, si belle… vous êtes si… ...
... ravissante, charmante… délicieuse… C’était la première fois qu’un homme lui disait ces mots. Sans qu’elle y pense, ses cuisses s’ouvrirent plus largement. — Quel ravissement… quel délice de vous regarder, je voudrais vous regarder… longtemps. Je vous en prie, restez ainsi pour moi un moment… vous n’imaginez pas le plaisir que j’ai à vous contempler… vous êtes… belle… adorable… La voix du prince était pleine et chaude. Elle sentit son clitoris durcir et les lèvres de son sexe s’écarter d’elles-mêmes, elle mouilla très vite. Elle voulut refermer les jambes mais c’était comme si les muscles de ses cuisses ne répondaient plus. — Oh, vous êtes en train de vous ouvrir comme une fleur, murmura le prince. Vous êtes si belle, si séduisante, si excitante, si délicieusement excitante… Elle ferma les yeux. Le prince continuait de lui parler avec douceur, sa voix était comme une caresse. Elle ne comprenait pas comment ses mots avaient pu l’exciter si vite et à ce point. Elle sentait son regard sur son sexe, comme une brûlure. C’était intenable. Elle passa sa main sous sa chemise et caressa ses seins. L’effleurement de ses tétons, très durs, sembla multiplier l’excitation de son sexe et elle se cambra. Son autre main se mit à caresser son clitoris. Elle ne comprenait plus très bien ce que lui disait le prince mais sa voix continuait de se déverser en elle, douce, chaude, aimante, et se mêlant aux vagues de plaisir qui parcouraient son corps. Finalement, elle se mit à jouir, en gardant les cuisses ...