1. L'homme dupliqué


    Datte: 31/05/2021, Catégories: fhh, copains, Masturbation intermast, Oral préservati, pénétratio,

    ... bouches, de quatre mains et de… oui, disons le : de deux membres gonflés de désir pour moi. Jusqu’au printemps, notre relation est de plus en plus complice bien qu’amicale. Régulièrement, le soir, je me fais cadeau d’un plaisir solitaire où mes jumeaux sont toujours présents. Ils sont d’autant plus présents que je suis sûre, désormais, que ni l’un ni l’autre n’est gay. Le retour des beaux jours. Les premières chaleurs. Les tenues plus légères. Des regards appuyés qui me disent que je ne les laisse pas indifférents. Pierre commence à faire ouvertement son charmeur quand Paul, plus timide, se contente d’être charmant. Nous sortons de plus en plus souvent ensemble le samedi soir et, quand mon état ne me permet pas de prendre le volant, je dors dans leur appartement du centre ville, occupant la chambre de Pierre qui, lui, passe la nuit avec son frère. À chaque fois, j’ai droit à un merveilleux petit-déjeuner en compagnie de deux jeunes hommes très serviables. Cerise sur le gâteau, comme je n’ai qu’une cabine de douche à la maison, je profite de leur baignoire pour prendre un bon bain. C’est d’ailleurs un de ces dimanches matin que Pierre, lors d’un tête-à-tête, me dit que tous les deux aimeraient sortir avec moi. Et si aucun ne prend vraiment d’initiative, c’est parce qu’un accord entre eux veut que ce soit à la fille de choisir afin d’éviter toute rivalité entre frères. — Maintenant que tu connais la situation, il ne tient qu’à toi de choisir : Pierre, ou Paul… ou ni l’un ni ...
    ... l’autre. Je suis troublée mais ne réponds rien. Dans le bain qui suit, je me rends compte qu’il a oublié une possibilité : — Ou les deux. Cette seule pensée échauffe mes sens et, malgré la peur d’être surprise par un des garçons (ou grâce à elle), je m’offre un plaisir minute intense et silencieux. Sur le chemin du retour, je sais que je vais faire mon pas de géant. Je ne sais pas comment, mais je vais le faire. Quelques jours plus tard, les jumeaux m’invitent à les rejoindre le dimanche pour aller pique-niquer au bord d’un plan d’eau avec des amis à eux. Nous passons une journée magnifique. Beau temps, bon repas, excellente compagnie. Voir les jumeaux torse nu me trouble. J’aime les grands bruns costauds, légèrement poilus et, avec eux, je suis plutôt loin du compte : tignasses châtain clair, corps maigrichons et complètement imberbes… Ce qui est surtout troublant, c’est de les voir côte-à-côte : cela me rappelle des fantasmes, des images sensuelles… Là, sur l’instant, j’ai très envie d’eux. « Excusez-nous les gens, mais je prends les jumeaux avec moi, juste l’affaire de deux petites heures, pour se faire une baise bien hard en trio derrière les bosquets. » Personne ne me regarde interloqué. De toute façon, personne ne m’a entendue car ces mots n’ont pas franchi le barrage de ma bouche. En fin d’après-midi, le petit groupe se sépare. Comme beaucoup de commerçants, les jumeaux et moi ne travaillons pas le lundi et n’avons pas vraiment envie de rentrer aussi vite. On lance ...
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