Elle prend son pied sur le mien : ma muse m'amuse (1)
Datte: 31/05/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Un texte rédigé avec Morgane, ma muse, que je remercie. ******************************************************************************************** Je remarque, exposées derrière la vitrine d’une boutique de chaussures haut de gamme, une magnifique paire de boots comme celles que j’aime : fines, faites d’un cuir souple, avec un talon de six centimètres, semblables à celles que je me procurais à Carnaby Street et que je portais pendant les swinging sixties ; bref, pour notre époque, un vrai miracle ! Je pousse la porte et pénètre dans l’atmosphère feutrée de cette boutique de luxe. Une mignonne petite vendeuse vient à ma rencontre en affichant un large sourire. — Que puis-je faire pour vous, Monsieur ? Avez-vous déjà fait votre choix, ou désirez-vous que je vous présente notre toute nouvelle collection ? — Mon choix est fait : avez-vous en taille 42 les boots exposées sur votre étalage ? La charmante jeune fille – qui n’a pas encore atteint la trentaine, d’après ce que je peux en juger – lève son regard vers moi (c’est vrai qu’elle est petite, environ un mètre soixante : je la domine de presqu’une tête, du haut de mon mètre soixante-seize) et me demande : — Lesquelles, Monsieur ? Je la précède pour les lui indiquer. — Celles-ci ; en taille 42. — Je reviens dans un instant. Si vous voulez bien m’attendre… Elle s’éloigne en direction d’une pièce que je pense être la réserve et revient quelques instants plus tard, une boîte à la main. — Veuillez me suivre dans un salon ...
... privé pour l’essayage. Lorsqu’elle fait demi-tour, mon regard ne peut éviter de s’attarder sur sa petite croupe qui ondule devant moi. — Si vous voulez bien vous donner la peine d’entrer… dit-elle en s’effaçant après avoir ouvert une porte dissimulée derrière des tentures. — Merci. — Veuillez vous asseoir, Monsieur, dit-elle en me désignant un confortable fauteuil. Une fois assis, j’entreprends d’enlever l’une de mes chaussures ; mais comme elles sont très ajustées, ma socquette suit le même chemin. Embarrassé, je me retrouve avec un pied complètement dénudé. — Oh, excusez-moi, Mademoiselle ; je suis confus. La jolie naïade s’agenouille devant moi, ce qui me permet d’avoir une vue plongeante sur la naissance de sa poitrine généreuse. « Sûrement un bonnet D… » me dis-je. Elle lève ses yeux bleus vers moi et me répond en souriant : — Ne vous inquiétez pas, Monsieur : cela me permettra d’étudier la morphologie de votre pied. En disant cela, elle place une main derrière mon talon pour le soutenir tandis que son autre main flatte délicatement mon pied. Je remarque que son regard se voile et que ses tétons pointent sous son chemisier ; je me dis qu’elle ne porte certainement pas de soutien-gorge et que ses seins volumineux n’ont pas besoin de cet artifice car ils me semblent très fermes. C’est d’une voix rauque qu’elle déclare : — Vos pieds sont magnifiques, Monsieur ; ah, quelle cambrure… Et là, elle approche son visage, la lèvre frémissante, comme si elle désirait l’embrasser. ...