1. Abdou et la salle de bains


    Datte: 31/05/2021, Catégories: fh, couleurs, extracon, Oral

    ... examine attentivement son corps, elle a eu 4 enfants mais elle est toujours désirable, juste quelques kilos en trop sur les hanches. Sa peau est douce, ferme, seuls les seins tombent très légèrement, elle se caresse doucement, les tétons se dressent aussitôt, elle les passent dans la paume de ses mains puis entre ses doigts, les pincent doucement. Il y a si longtemps qu’elle n’a pas eu de plaisir avec son mari, elle a bien tenté de se caresser seule, mais elle n’a pas apprécié ce moment de solitude où son corps ne réclame que caresses. La sonnerie retentit, Véronique sursaute, elle enfile en vitesse le peignoir de bain accroché au porte-manteau, et descend quatre à quatre l’escalier, pour accueillir l’ouvrier. L’homme se tient devant elle, très grand, au moins 1m90, un sourire éclatant illumine son visage, c’est un homme de couleur. Elle le salue et le prie d’entrer. L’homme à la peau noire est d’emblée très sympathique, jovial, bavard et souriant. Abdou ne peux s’empêcher de trouver la femme à son goût, elle a l’air triste mais très gentille. Il se dit que la pauvre ne doit pas rigoler tous les jours. Presque immédiatement, il lui propose, si elle le désire, de l’appeler par son prénom, ce qui sera moins formel, pour la semaine à venir. Etonnée, elle accepte cependant mais se sent obligée de lui dire, d’en faire autant et de l’appeler Véronique. Ils discutent des travaux, elle se sent vite à l’aise avec lui, au bout d’un quart d’heure, elle lui propose même un café avant ...
    ... de démarrer, qu’il s’empresse d’accepter, et la suit dans la cuisine. Une tasse dans la main, ils s’assoient, et sirotent le doux breuvage. Abdou aperçoit ses jambes entre les pans entrouverts du peignoir, de jolies jambes toutes lisses, il se dit qu’elle a l’air d’être toute nue, là-dessous. Véronique surprend le regard, elle rougit et referme brutalement les pans. Comment peut-elle se pavaner ainsi devant un inconnu ? Elle avale son café d’un coup, pour mettre un terme à ce moment de pseudo intimité avec lui. Elle s’étouffe à moitié et se met à tousser lamentablement. — Tout va bien, Véro ? Je peux faire quelque chose, s’inquiète t-il ? Gênée de se donner ainsi en spectacle, elle tente de reprendre son souffle alors qu’Abdou, visiblement ennuyé, tente de lui tapoter dans le dos. La petite séance a pour effet de desserrer le cordon qui ne ferme plus le peignoir, et Véronique qui tousse toujours ne le remarque pas tout de suite. Abdou ne peut que constater qu’il avait raison, elle est bien nue dessous. Elle est très belle, sa peau toute blanche contraste avec sa peau d’ébène. Il sent, inconsciemment, qu’il commence à bander. Véronique, enfin, se calme, et prend conscience de l’indécence de sa tenue. Le visage rougi par la quinte de toux, elle noue le vêtement hâtivement. Il se permet alors de dire : — N’ayez crainte, je ne vais pas vous toucher ! Vous êtes une très belle femme ! Surprise de son audace, elle ignore la remarque. Il comprend son malaise et sans un autre mot, ...