1. 1ere fois avec ma voisine (3)


    Datte: 30/06/2017, Catégories: Hétéro

    ... surprise ! Heureuse surprise ! Il avait neigé ! Et pas qu’un peu. De quoi bloquer la circulation pendant des heures. "Je pense qu’on a encore du temps pour nous", me dit Valérie dans un sourire resplendissant. Direction l’hôtel Ibis situé à une centaine de mètres du centre commercial. Le temps d’effectuer le paiement de la chambre et nous nous retrouvions sous la douche. Il n’était encore que 17h mais il faisait presque nuit et avions prévu de repartir vers 21h. "Merci pour cette journée, et merci d’avoir été si disponible pour m’aider", me dit-elle en sortant de la douche. — Mais tu pourras toujours compter sur moi ma belle. — Tu me fais rougir quand tu dis ça, j’ai plus de 10 ans de plus que toi. — Oui et tu es mon idéal féminin : une belle femme, pleine et charme, d’esprit, d’humour et d’assurance. Au top de sa féminité. — Même si tu n’en penses que 10% ça me fait plaisir d’entendre ça. — Je pense tout ce que je viens de dire. Après avoir terminé cette phrase, je le pris dans mes bras le plus naturellement du monde et commença à l’embrasser, passant tendrement mes mains dans son dos encore légèrement humide." Valérie se dirigea vers le lit. Elle s’allongea tout d’abord sur le ventre avant de s’appuyer sur les avant-bras et de remonter sensuellement ses hanches. Elle se mit ensuite à secouer ses fesses lentement de gauche à droite. "Prends-moi bien qu’on finisse cette journée en beauté", m’ordonna-t-elle. Sans me faire prier, je me postai derrière elle, caressant des ...
    ... fesses et ses hanches, la faisant aller et venir contre moi. Je voulais profiter de ces instants dont je ne savais pas, quand, et même si, ils se reproduiraient. Lorsque je caressai ses lèvres avec mon pouce, elle eut un frémissement. Je portais ensuite mon pouce à ma bouche pour la gouter. — Valérie, tu es bonne. Je posai mon pouce contre son petit trou et commença à faire de petits cercles concentriques. — Oui, par là. Alors, doucement et tendrement, j’introduis mon index et le fis ressortir à plusieurs reprises. Son appréhension disparut après plusieurs allées et venues et quand elle fut bien dilatée, je collai mon sexe contre ses fesses. — Vas-y, je suis prête. Je la pénétrai lentement pour ne pas lui faire mal et pour ne pas interrompre ce moment. Après quelques instants, je sentis qu’elle se détendait et son anus se relâcha. Je commençai alors à aller et venir dans son petit trou. Peu à peu, elle apprécia ce traitement et son bassin commença à se mouvoir. — Mmm, c’est bon, oui, continue, vas-y. Je suis à toi ! — Tu aimes quand je te prends comme ça ? — Oui, continue, j’aime ça ! Je suis à toi, je suis ta cochonne. — Je ne veux pas que tu sois ma cochonne, je veux que tu sois à moi Valérie. Pas juste comme ça. — Prends-moi bien, c’est bon. Je sentais que ce n’était pas le bon moment pour l’amener sur ce terrain. Je la voulais pour moi, uniquement pour moi. Qu’elle se débarrasse de ce mari qui devenait, à mes yeux du moins, plus qu’encombrant. Je redoublais donc d’efforts pour ...