Je découvre ma famille (1) - Histoires de Sexe

Je découvre ma famille (1)

... torse, ce qui me fit tressaillir, trembler d’excitation. Je n’arrivais pas à y croire. Ma mère était en train de me parler d’inceste, de VRAI inceste, de vrais rapports incestueux, au sein de ma propre famille. Je devais être en train de rêver. « Tu veux parler… d’inceste ? Tu sais, ça fait longtemps que je fantasme sur toi et papa… Dis-je avec une fausse assurance, redoutant tout de même la réaction de ma mère. — Nous l’avions remarqué, lui et moi. Et c’est pour cette raison que je suis là en ce moment. Je voulais m’en assurer. Sa main descendit lentement le long de mon ventre, s’approchant dangereusement de mon sexe, bandant toujours, et même plus fort qu’il y a quelques minutes. — Que dirais-tu d’un petit avant-goût tout de suite ? Tu sembles avoir besoin d’aide… Elle ne me laissa pas le temps de répondre et m’embrassa directement. Elle insinua sa langue dans ma bouche, se frayant un chemin entre mes lèvres. Sentir la langue maternelle dans ma bouche, pendant que cette main s’approchait de mon sexe, c’était trop. J’étais à deux doigts de jouir. Je n’arrivais pas à croire ce qui se passait. C’était trop beau. J’étais en train d’embrasser ma propre mère, de jouer avec sa langue pendant que sa main caresser mon bas ventre. J’étais aux anges. Soudainement, elle se retira, se leva au milieu de la chambre, et enleva son chemisier, dévoilant une poitrine généreuse, très bien conserver pour une femme proche de la cinquantaine ayant eu 3 enfants. Son corps en général était très ...

... harmonieux. Elle était la femme mature que je rêvais de prendre. Elle continua à se déshabiller en enlevant son jean, montrant une culotte en dentelle très sexy. « J’avais prévu d’en arriver là avec toi cet après-midi, lâcha-t-elle dans la confidence — Maman, tu es magnifique… » Elle rougit un peu à mon compliment, puis retira également sa culotte, mettant à jour ses fesses et son vagin, épilé façon ticket de métro. Elle était là, nue, au milieu de ma chambre, devant moi, parfaitement sûre d’elle. Elle s’approcha à nouveau de moi, et cette fois-ci, plutôt que de poser ses lèvres sur les miennes, elle les déposa sur mon gland. Sensation qui me fit sursauter d’excitation. Avant qu’elle aille plus loin, je lui demandai de monter sur moi, et de venir positionner son vagin au-dessus de mon visage. Ce qu’elle fit sans poser de question. Nous étions donc en 69. Ma mère me suçait, pendant que je léchais son clitoris, enfonçant par moment ma langue dans son intimité. Ma chambre s’emplit rapidement de gémissement, autant d’elle que de moi. « Han maman… Tu fais ça tellement bien… — Merci mon chéri… Ta langue fait des merveilles aussi… » Puis, dans le feu de l’action, par instinct, je posai mes mains sur ses fesses et décida de glisser un doigt dans son cul. Elle se retira, et, me regardant entre ses seins pendants, elle me dit : « Chaque chose en son temps mon lapin. Gardons ça pour plus tard. » Je n’ai pas eu le temps de répondre qu’elle se débrouilla pour se retrouver assise sur moi, me ...