Transformations diverses
Datte: 31/05/2021,
Catégories:
fffh,
fbi,
grossexe,
hotel,
Transexuels
humour,
fantastiqu,
fantastiq,
... à côté de la première, jusqu’à atteindre la même longueur considérable que l’autre. Aurélie éclata de rire. J’explosai de rage et commençai à engueuler Bazouk, mais celui-ci ne voulait pas rester sur un échec et lança derechef un nouveau sortilège, d’une rare puissance destructrice : les deux jambes d’Aurélie disparurent soudain ! Celle-ci tomba lourdement sur le sol en gueulant à la fois d’horreur et de douleur. J’eus un haut-le-cœur ; Bazouk se mordit la lèvre en adoptant un air affligé. — Je… je vais arranger ça… souffla-t-il. Aurélie se mit à hurler comme jamais. — Je pense vraiment préférable de commencer par l’endormir, conseillai-je.— Oui, reconnut Bazouk en lançant un nouvel éclair, cette fois-ci efficace. Notre cul-de-jatte hermaphrodite à deux bites s’écroula finalement sur le sol sans plus bouger, respirant calmement. — Remets-lui encore deux ou trois bites et ça fera un poulpe…— Tu crois ? s’inquiéta Bazouk.— Écoute-moi bien, fis-je avec une tronche de parrain, je te donne trente secondes pour lui rendre son apparence normale…— Oui… oui… ne t’inquiète pas…— Eh ben si ! justement ! je m’inquiète ! Il lança encore un nouveau sortilège qui ajouta à la pauvre Aurélie une sorte de gros tentacule là où auraient dû se trouver une de ses jambes. Il soupira encore, puis se drapant d’un air tourmenté, déclara : — Pfffiouuh ! Je ne sais pas si je vais y arriver… Je commençai à m’alarmer sérieusement en contemplant l’horrible créature qu’était devenue ma compagne. Je tentai ...
... de me calmer en me rappelant que chez Bazouk le meilleur succédait souvent au pire. Mais je préférai ne pas assister aux dizaines de tentatives qui seraient sans doute nécessaires à le conduire au meilleur. Sans plus lui prêter la moindre attention, je filai vers la chambre rassembler toutes nos affaires et réveiller doucement Pandore, qui fila à la douche dès qu’Azura en sortit, plus resplendissante que jamais. Celle-ci s’habilla pendant que je fulminais de rage et d’agacement à côté d’elle ; elle revêtit quelques-unes des fringues ultra moulantes qu’on avait achetées l’avant-veille. On discuta un moment, mais Bazouk entra soudain avec un sourire victorieux et m’expliqua que tout était rentré dans l’ordre. Je ne demandais qu’à le croire, mais j’allais vérifier quand même par moi-même. Cependant, effectivement, Aurélie et Estelle étaient redevenues presque normales et n’arboraient plus leurs ignobles grosses bites. Toujours nues, elles discutaient tranquillement assises sur le canapé, comme si elles étaient les meilleures amies du monde. Rassuré, je les secouai quand même un peu ; il était bientôt midi et nous devions être à l’aéroport au plus tard à treize heures quarante. Pendant qu’elles allèrent ensemble à la salle de bains, je demandai à Bazouk de nous parfaire nos faux passeports, d’y inscrire des noms au pif dont je lui fis le modèle sur un bout de papier, de mettre des dates et des numéros à la con. Ça nous prit encore un bon moment, et il restait aussi à élaborer une ...