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Dialnet - Round 9
Datte: 01/06/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Inceste / Tabou
... risqué de le fouiller sur place alors elle l’emporte à l’étage. Une fois à l’abri de sa chambre, elle fouille fébrilement. Puis elle retourne le contenu sur le lit et fouille encore. Une sueur glacée nimbe son front : pas d’enveloppe. Alors qu’elle est certaine qu’elle devrait s’y trouver. Elle se revoit remettre la lettre et le CD à l’intérieur puis la ranger dans le sac avant d’appeler le serveur. Est-il possible qu’elle ait ensuite glissé par terre durant leurs ébats ?Malgré la fatigue, elle ne dort pas de la nuit et se repasse la journée en boucle.Le lendemain matin, elle est parvenue à se convaincre qu’elle a laissé l’enveloppe dans le pub. Elle doit par contre vraiment avoir une tête de déterrée en plus de son œil et de sa bouche car lorsqu’Edouard vient s’enquérir de son état, il refuse d’entendre quoi que ce soit avant qu’elle n’accepte d’avoir la visite du docteur Menard. Ils conviennent de le faire venir dans la matinée. Edouard propose de rester à la maison pour l’assister si nécessaire mais elle parvient à le rassurer. Après avoir appelé son travail pour leur expliquer la situation, il se rend finalement au ministère - non sans lui avoir fait promettre d’appeler en cas de souci. Les enfants proposent la même chose mais elle les rassure à leur tour, expliquant qu’elle n’a besoin que de repos.Une fois la maison vide, elle peut enfin pleinement se rendre compte des dégâts en se regardant dans le miroir en pied de sa chambre : les ecchymoses dues aux coups et les ...
... marques de ceinturon se sont déjà violacées. Pour arranger le tout, son visage est maintenant celui d’une boxeuse qui a largement perdu son dernier match.En bonne perverse maso, se voir dans cet état l’excite et elle se prend en photo avec son portable.Elle a envie d’aller au sous-sol et de se montrer en Cam.Elle est prête de s’y rendre mais c’est la sonnette d’entrée qui l’en empêche.Le docteur Ménard !Elle l’avait oublié, celui-là !Truica enfile une tenue d’intérieur et sa robe de chambre puis descend.Elle ouvre la porte et il est là : trop gras, suant, encore flanqué de ses trop longues mèches de cheveux filasses qui barrent le dessus de son crâne pour cacher sa calvitie.Il sourit avec ses lèvres humides épaisses, presque négroïdes, et elle s’efface pour le laisser entrer.- Seule ?- Oui.- Vous avez recommencé ?- C’est compliqué…Il laisse échapper un bruit d’ongle sur un tableau. Son rire. Aussi désagréable que le reste. Ménard rit parce qu’il sait. Il était complice de l’homme qui l’avait dominée par le passé. Il a les yeux brillants et une sueur grasse sur le front quand il souffle :- Montrez-moi.- Ici ?- Pourquoi pas puisque vous êtes seule.- L’est-on vraiment jamais ? Montons…Elle sent son regard sur sa croupe le temps qu’ils arrivent à l’étage. Une fois dans sa chambre, il s’assoit dans un fauteuil comme s’il était au spectacle. Il est répugnant. Et c’est pour ça, pour s’avilir, qu’elle obéit quand il souffle à nouveau « Montrez-moi. »Une fois nue, elle tourne lentement ...