La belle italienne
Datte: 01/06/2021,
Catégories:
fh,
forêt,
telnet,
revede,
Oral
pénétratio,
tutu,
Je ne cessais de regarder autour de moi, l’air incrédule, les yeux hagards. Les gens qui me croisaient ne semblaient pas me voir. Je me trouvais dans une grande allée bordée d’arbres et je ne comprenais pas comment j’étais arrivé ici, ni même où je me trouvais exactement… Que m’arrivait-il ? Etais-je devenu fou ? Je me souvenais parfaitement être rentré chez moi, avoir dîner, regarder un DVD puis être allé me coucher. Et voilà que maintenant je me trouvais dans ce qui semblait être une forêt en plein milieu de l’après-midi ! Avais-je eu un accident ? Etais-je devenu amnésique ? Je me mis à marcher au hasard des sentiers qui se présentaient à moi et finis par m’arrêter brusquement. Devant moi, à quelques mètres, assise sur un banc en pierre, se tenait une belle jeune femme vêtue d’une longue robe blanche. Elle me fixait avec un grand sourire qui faisait briller ses yeux comme s’ils étaient illuminés de l’intérieur. Cette jeune femme, c’était toi, ma belle italienne, toi que je n’avais pas revu depuis plus de cinq ans, toi avec qui j’avais discuté sur le net il y a quelques jours seulement. Je n’en croyais pas mes yeux ; il y avait quelque chose d’irréel dans tout ceci. Mon amnésie, cette forêt se trouvant je ne sais où et, pour finir, toi en face de moi alors que je te savais à des milliers de kilomètres d’ici ! Il devait bien y avoir une explication rationnelle. Comme si tu semblais avoir compris mes questions, ma peur, tu te levas et t’approchas doucement de moi sans cesser ...
... de me sourire. Tu vins si prêt que je pus sentir ton souffle sur mon visage. Mon Dieu que tu étais belle. Je te pris dans mes bras et te serra fort, comme pour m’assurer que tout cela n’était pas un rêve. Je plongeais mon visage dans tes cheveux, te caressa les joues, déposa un baiser sur le front… c’était bien toi. Tu me pris par le bras et nous nous mimes à marcher un moment. Je ne cessais de te presser de questions. Depuis combien de temps étais-tu en France ? Pourquoi ne m’avais-tu pas dis que tu allais venir ? Pourquoi ne pas m’avoir téléphoné ? Et comment était-il possible que l’on se retrouve ainsi au milieu de nulle part ? Mais tu ne répondis à aucune de ces questions, comme si tu ne m’entendais pas. Tu finis par stopper notre marche et me fixas droit dans les yeux en me prenant le visage entre tes mains. Ton regard était plus envoûtant que jamais. Je n’osais plus dire un mot, ni même bouger le plus petit de mes muscles tant je craignais que tout ceci ne s’évanouisse en fumée. Tu approchas tes lèvres des miennes et je me laissais emporter par ce baiser fougueux que tu m’offrais. Nous nous trouvions au milieu d’une clairière et, bizarrement, il n’y avait plus personne autour de nous. Tu t’allongeas sur l’herbe légèrement brûlée par le soleil et m’invita, d’un geste de la main, à venir près de toi. Nos lèvres se scellèrent une nouvelle fois et je sentis l’émoi qui gagnait tout mon être. Ma main parcourut ton corps, s’arrêtant un instant sur ta poitrine, puis repris son ...