1. Je vais baiser ma belle-mère pour me venger. 2ème partie


    Datte: 01/06/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... pour la consoler et qu’elle ne dise rien elle aussi à son père, Julie m’a « incité fortement » à la joindre à nos galipettes et je l’ai dépucelée sous les yeux de sa mère. Mon Dieu ! Qu’ais-je fais ? Mon beau-fils est passé de l’innocence au mâle assoiffé de sexes ! Je recommence à bouger autour de ton bélier à mon rythme, montant et redescendant lentement puis de plus en plus vite, déclenchant à nouveau les grandes eaux mais tu refuses que je « débite ». Ton manche fait chéneau et mon liquide ambré coule le long te ta hampe, de tes couilles et fait une grosse tache sur le drap qui s'agrandit au rythme de mes orgasmes. Mais tu veux montrer que tu es le mâle dominant et que je suis ta femelle soumise. Tu me bouscules sans ménagement pour poser tes jambes au sol, passes tes bras dans mon dos, me dis de serrer mes mains autour de ton cou et te redresses. Je me retrouve suspendue à ton corps, sous mon poids, ta colonne de chair me pénètre encore plus loin, quand tu vois que je grimace sous la douleur, tu relèves mon corps et recommences encore et encore, essayant à chaque fois de gagner quelques millimètres supplémentaires. Je n’ai jamais été aussi (remplie). Je crie, je gémis mais tu n’en a cure et continues à me baiser en force. Je suis une vraie chienne fidèle à mon maître, la femme indigne qui se fait baiser par le père et le fils. Je devrais avoir honte mais ta queue me procure trop de bien et j’avoue que j’adore ça Comment je peux penser à de telles choses dans ces moments ...
    ... là mais si tu me demandais de tout quitter pour toi, je le ferais illico. Mais tu fatigues et chaque pénétration est plus profonde, je gémis de plus en plus fort de douleur et de plaisir, c’est tellement bon. Tu te retournes et me couches sur le dos, tu prends mes seins à pleines mains et me besognes maintenant comme un fou. Tu me poignardes sur ta verge qui décidément ne veut plus cracher. Tu vas si vite et tes mouvements sont si amples que tu déchausses de ma grotte d’amour. Je redresse ton boutefeu plusieurs fois pour le remettre en position mais tu veux aller si vite que ta dernière poussée dérape et finit un peu plus bas, ton gland violacé et boursouflé tellement tu bandes rencontre l’entrée des artistes qui ne peut résister à la violence de ton coup de rein. Mon œillet fripé, tel une porte de château-fort, doit se distendre et céder sous le choc pour absorber la rigidité sans faille de ton bélier sur 10 bon centimètres. Je hurle de surprise, de douleur et de joie mêlés. Tu te retires, la queue toujours aussi dure et comme je t’encourage à aller plus loin, tu mets ta tête entre mes cuisses pour me lécher l’anus, tu le lubrifies de ta salive. Tu enduis bien ma rondelle et appuis de nouveau ton gland contre mon petit trou et pousse ton poteau noueux avec une lenteur exaspérante, regardant disparaître en moi, centimètre après centimètre ton défonce-cul de compétition. Tes mains ne restent pas inactives, l’une me pince un teuton pendant que l’autre explore ma chatte. Comme ...