1. Marlyse (5)


    Datte: 01/06/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... vide et s’épanche joyeusement dans la gorge de Florida qui déguste avant l’heure du dessert cette crème de couille qui n’a rien à voir avec la crème brûlée, ni la crème anglaise qui est parsemée de confitures rouges. — Voilà, cela va mieux dit Louis en rangeant son artillerie. Je me sens un peu soulagé. — Toi oui, mais moi, ma minette crie famine comme la cigale qui avait chanté tout l’été. Tu ne vas pas jouer à la fourmi. — T’inquiète, ôte les remparts et j’investis la place, en attendant que le bélier reprenne la forme, je vais te faire un cours de langue. Je pratique couramment le clitolingus, l’anulingus et le broute-minou, n’en déplaise le Vatican, mais j’adore m’abreuver à la fontaine de Trévise. . Je vois que tu as une vaste culture, il ne te reste qu’à la mettre en pratique. S’agenouillant devant Florida, il colle sa bouche en mode aspirateur à cyprine sur le sexe velu qui se présente. — J’ai toujours dit que les huîtres portugaises l’emportaient sur les Belons affirme Louis, la figure barbouillée du bon jus, mais par contre, elles sont toujours plus difficiles à ouvrir. C’est joli d’avoir une forêt amazonienne entre les jambes, mais les interstices inter dentaires sont vite obstrués. — Ne disserte pas tellement et bouffe, broute, lèche, je n’ai pas pris mon pied, encore un petit effort. C’est alors que faisant un détour, Louis, proche de la défaite prend l’ennemi à revers et lui plante le pouce au milieu des troupes adverses, il investit le capitole et finalement le ...
    ... bélier étant prêt, il dégage la cavalerie et force la porte de service et de sévices d’un mouvement conquérant. — Aïe, tu me casses le cul, mais continue, c’est super bon, le mélange de la douleur et du plaisir, mais ne te dépêche pas trop. — Je sens bien ton boyau, il est très accueillant, j’espère pouvoir durer indéfiniment jusqu’à ce que tu rendes les armes. Assis sur le lit à côté, leurs petites affaires terminées, Gustave et Marlyse commentent la scène. Gustave : — Il va avoir de la peine à la finir, elle aime tellement ça qu’elle prend souvent le chemin buissonnier et on peut s’épuiser à la bourrer elle ne décolle pas. — Tu ne veux pas lui aider en la prenant par-devant ? Peut-être qu’elle n’arrivera pas à se retenir, ce serait bien, je commence à avoir la dalle, même si ta crème de pruneaux est très savoureuse, j’aimerai bien du concret pour mon estomac. — Oui, je vais aider la manœuvre, je sais qu’elle résiste difficilement à mon arbre sans came. (par opposition à l’arbre à cames dans la technique automobile) C’est ainsi que se sentant assiégée de tout coté, Marlyse lui léchouillant encore les seins, Florida se sentit partir dans un orgasme gigantesque, jamais elle n’avait été investie si sérieusement. A ce moment là, arrive Thérèse avec un drôle d’appareil, le clitomètre : — Je vais faire les essais préliminaires de mesure du clitoris. Florida montre-moi ta moule. ... C’est pas évident avec ce fouillis que tu as entre les cuisses. ... Voilà, on peut le définir comme ...
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