1. Dimanche salé-sucré


    Datte: 02/06/2021, Catégories: ff, fépilée, Oral init,

    ... de mon téton, et la sensation était fabuleuse. J’étais à nouveau en apnée, le sein durci et mon ventre commençant à se réchauffer. Elle retira sa bouche, se redressa tout en gardant ses mains sous mes seins et me décocha le sourire qui voulait dire « Je t’ai bien eue ! » Elle m’embrassa rapidement et continua : — Je ne prends pas de lait. Juste du café. Pour le lait, j’irai voir à la source, même si je doute pouvoir en tirer quelque chose.— Je ne sais pas si tu arriveras à tirer du lait, mais si tu veux continuer d’essayer, je suis toute à toi.— On verra ça tout à l’heure. Que veux-tu manger ? me demanda-t-elle. On en était à se faire des avances plus ou moins déguisées j’en profitai pour descendre ma main sur son pubis. Je baissai à nouveau la tête, comme si la pudeur ou la culpabilité revenait à la charge. Puis dans un souffle à peine audible je lui dis : — Je voudrais bien ce fruit. Mais il me semble défendu.— Il n’est pas défendu, plus pour toi en tout cas. Et puis, c’est que du naturel, plein de bonnes choses ; c’est bio, ça peut être équitable si on le veut bien, et c’est pas demain que ça fera un trou dans la couche d’ozone ! Elle prit ma main et la guida vers son intimité. Sa bouche s’était rapprochée de la mienne, comme lorsqu’elle "ratait" ses bises. Puis elle continua : — Et lorsque ce fruit est bien mûr, il est juteux au possible, c’est très désaltérant. Elle laissa ma main entre ses cuisses, et je me sentis autorisée à laisser aller mes doigts à la découverte, ...
    ... à nouveau. Je n’avais plus autant peur que la veille, et j’en avais même une furieuse envie. C’est mon index qui approcha sa fente en premier. Il fit un petit cercle et n’eut aucun mal à s’immiscer entre ses lèvres. Le fruit était mûr, ou peu s’en fallait. — Tu vois, il n’y a rien de mal, me glissa-t-elle dans un soupir. Il faut juste se laisser aller, écouter nos corps… et le mien t’appelle. Tu l’entends ? Elle écarta un peu ses cuisses. — Je ne sais pas si je l’entends, mais mon doigt le sent bien.— Je ne sais pas si on va vraiment manger ce matin. Ta main me donne trop envie de toi. On retourne dans la chambre ? Je retirai mon doigt de ce fruit et le relevai à hauteur de nos yeux. Il brillait de son précieux jus, de l’extrait de plaisir 100% naturel. — J’en ai envie aussi, lui répondis-je.— Passe devant, je veux voir ton petit cul ! Je fis mine d’être vexée et me penchai en avant pour lui montrer pleinement mon "petit" cul. Elle s’approcha rapidement de moi et me décocha une petite fessée en riant comme une gamine : — Petite effrontée ! Tu vas voir si je t’attrape !— Tente ta chance, lui dis-je en riant moi aussi… et je me précipitai dans ma chambre, sautant à genoux sur le lit. Elle arriva en trombe sur le lit et grogna : — Tu va me le payer ! Elle commença à me chatouiller, à quoi je répondis par des bisous sur les hanches, sous les bras… On riait toutes les deux à savoir laquelle embrasserait le plus en chatouillant. Des gamines n’auraient pas eu un comportement plus ...
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