Comme un lundi - Première partie - Histoires de Sexe

Comme un lundi - Première partie

... plus rapides. Nous sommes complètement captivés par cet acte si fort que nous partageons. Ma respiration est saccadée et Elsa pousse des gémissements rauques. Je me retire de son cul, Elsa se retourne en me jetant un regard interrogateur. Je regarde son anus se refermer doucement et je l’aide à se lever pour l’attirer contre moi et l’embrasser. Sans un mot, je m’assieds sur le canapé. Je guide Elsa pour qu’elle s’assoie à califourchon sur moi. Elle prend mon sexe, le place entre ses fesses et s’empale à nouveau sur ma queue alors que je l’embrasse. Dans cette position elle est maîtresse de la pénétration, c’est elle qui impose le rythme. Moi, comme consolation du contrôle perdu, je peux caresser ses gros seins. Je les pétris, j’en pince les bouts, je les porte à ma bouche pour les sucer et les mordiller, lui tirant des gémissements dont je ne sais s’ils sont causés par le fait que je la mordille trop fort ou par ma queue dans son cul. — Alors c’est comme tu l’imaginais ? Tu l’aimes mon cul ? me demande-t-elle.— C’est encore meilleur que ce que j’ai pu imaginer toutes ces années. J’aurais dû te prendre à l’époque. Le ventre d’Elsa se frotte au mien alors que ma queue s’enfonce dans son cul. Je sens son excitation monter. J’aimerais que ma queue soit plus grosse ou plus longue pour lui donner plus de plaisir. J’espère qu’elle trouve ça aussi bon que moi. Tout à coup elle pousse un gémissement qui se transforme en un cri qu’elle essaye de retenir. Ses mains m’attirent contre ...

... ses seins dont je mords les bouts. Elle jouit, si fort, si belle, les yeux fermés. Je sens son anus se contracter autour de ma verge, et la broyer presque, provoquant mon orgasme que je ne retenais qu’à grand peine. Essoufflée, Elsa s’écroule sur moi et nous essayons de retrouver notre souffle l’un contre l’autre. Mon sexe se recroqueville et mécaniquement, se retire de son anus, qui se referme doucement en laissant couler un peu de mon sperme sur mon sexe. — Tu me nettoies avec ta bouche ? lui demandé-je.— Ha non, berk alors me répond-elle.— Pourtant j’aimerais bien. Il faudra que tu y prennes goût et que tu sois un peu plus obéissante à l’avenir ! Elle se demande si je plaisante ou pas, mais nous partageons un baiser, collés l’un contre l’autre. Les minutes passent alors que nous nous faisons des câlins. Et déjà je vois l’heure venue de repartir. Un dernier baiser, une douche rapide, trop rapide, où nous prenons plaisir à nous savonner l’un l’autre. Nous nous rhabillons rapidement, pressés par le temps. — J’aurais aimé que nous ayons toute la journée, lui dis-je.— Moi aussi. Allez, je te kidnappe ?— J’aimerais bien, mais je dois vraiment y aller. Par contre, tu peux peut-être passer me récupérer après ? Enfin, si tu n’es pas complètement calmée par ce qui vient de se passer !— OK, rendez-vous à 16 heures alors ! Mais prépare-toi, je te réserve un traitement à la hauteur de ce que tu m’as fait subir !— Parce que tu n’as pas aimé, peut-être ?— Oh si, et j’espère bien que tu vas ...