-
Débuts d'un soumis (5)
Datte: 02/06/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme
Je ne vois rien autour de moi, j’ai un bandeau qui me cache les yeux. Cette nuit, j’ai eu du mal à m’endormir, mon sommeil était perturbé par les cris incessants de Rosa. Toute sorte d’images fusaient dans ma tête mais je n’arrivais pas à m’imaginer réellement ce que Marc lui faisait subir. J’avais placé un oreiller sur mon visage pour étouffer les bruits que j’entendais et c’est avec difficulté que je m’endormis. Ce matin mon réveil sonne à 6h pile pour être sûr de ne pas arriver en retard à mon premier jour de dressage. Je prends ma douche et n’ose pas regarder par l’autre porte si Rosie est en train de dormir ou non. Je l’espère. Je prends un peignoir car je n’ai plus de vêtements propres. Je prends mon petit-déjeuner dans la cuisine sans croiser personne. Il est presque 7h alors je décide d’attendre dans le bureau de Marc. La porte était déjà ouverte. J’entre et remarque directement un bandeau noir et un post-it jaune posés sur le bureau. Quelqu’un avait écrit quelque chose dessus. « Il y a une porte cachée dans la bibliothèque. Cherche la clinche entre les deux livres rouges et ouvre la porte. Quand tu seras à l’intérieur, je veux que tu sois nu, que tu t’attaches les poignets aux chaînes qui pendent au milieu de la pièce et que tu mettes le bandeau. » Intrigué mais aussi excité par la situation, je cherche les deux livres et je les trouve rapidement dans le coin de la bibliothèque. Je passe ma main dans le trou et touche la clinche que j’abaisse. Il y a un déclic et la ...
... porte, qui se découpe parfaitement, s’ouvre. Je la pousse et entre dans une pièce plongée dans une pénombre rougeâtre. Il fait chaud à l’intérieur. Je ne distingue pas vraiment ce qui m’entoure mais j’aperçois les deux chaînes métalliques au milieu de la pièce. Je me déshabille et jette mon peignoir juste à côté de la porte. Je m’attache un premier poignet puis je place le bandeau sur mes yeux. En cherchant à tâtons, je prends la deuxième chaîne et la clipse à mon autre poignet. Le contact avec le métal froid me donne un frisson. Ça fait maintenant dix minutes que j’attends quand j’entends la porte se refermer. Des bruits de pas s’approchent de moi et je sens une main effleurer ma fesse. -Prêt à devenir le parfait esclave ? -Oui, monsieur. -Garde ce terme lorsque nous avons des invités. Tu m’appelleras Maître à présent. -Bien, Maître. -Tu ne poses pas de questions, tu n’as plus ton mot à dire à partir de maintenant. Tu ne parleras que quand je te l’ordonnerai. Sa voix est devenue plus grave que hier. Son timbre ne fait que m’exciter davantage. Sa main se retire de ma fesse et atterrit violemment sur mon visage. Je suis surpris et lâche un glapissement. Je reçois deux autres gifles sur chaque joue et la force du coup fait partir ma tête en arrière. Je recule de trois pas mais je suis retenu par les chaînes. Je le sens attacher deux bracelets en métal à mes chevilles et écarter mes jambes pour éviter que je bouge. J’ai les quatre membres complètement immobilisés. Mes joues sont ...