1. Échangiste malgré moi


    Datte: 03/06/2021, Catégories: fh, couple, extracon, amour, jalousie, Oral pénétratio, jeu,

    ... un certain sentiment de déplaisir à recevoir ta semence en bouche ; j’avais un grand appétit auparavant, j’ai l’impression de faire une indigestion. Ça ne se commande pas.— Tu as failli dire dégoût. Eh ! Bien, désormais j’utiliserai une capote et tu n’auras plus à craindre une grossesse ou l’envie de vomir. Peut-être demain m’embrasseras-tu sur la bouche : aujourd’hui je n’ai pas eu droit à un seul baiser.— Oh ! Pardon. C’est vrai ? À mon retour de la salle de bain, je vais me faire pardonner. Mais, dis-moi, ton nouveau travail te rend grincheux. Deux jours de suite tu m’adresses des reproches !— Je relève juste que tu me donnes l’impression de te forcer à être une épouse attentive, mais tu es distraite, comme absente parfois. Vivement que tes migraines disparaissent, sinon je vais craquer.— Je ne suis pas bien et c’est toi qui menaces de craquer. Cela devient compliqué, zut alors ! Ce soir le baiser n’est pas venu. Le lendemain soir j’ai eu droit à la soupe à la grimace, au lit j’ai vu un dos. Aujourd’hui, au boulot nous avons été victimes d’un train égaré dans des aiguillages. Les wagons arriveront avec un gros retard. Inutile de les attendre, nous les déchargerons lundi matin. À quinze heures nous quittons l’entrepôt. Au passage devant la maison de Louis, je salue Juliette. Elle me fait signe, je descends de bicyclette. — Que fais-tu là ? Louis est parti il y a quelques minutes pour te donner un coup de main. Vous aurez bientôt fini de tapisser les chambres ?— Mais Louis ...
    ... ne t’a pas dit que nous ne sommes plus sur la même tournée ? Je lui expose brièvement la situation. Elle tombe des nues. — Mais lundi, mercredi aussi il a prétendu t’aider à encoller les lés de tapisserie. Il trouve magnifique le papier avec les roses de ta chambre à coucher et veut mette le même chez nous.— Ce papier à roses a trois ans. Veux-tu savoir s’il est chez moi ou s’il est parti jouer à la pétanque ? Saute sur ton vélo et accompagne-moi. Un vélo d’homme est appuyé contre la façade. C’est celui de Louis. Nous nous regardons, étonnés. — Viens sur le côté, j’ai la clé du cellier. Du cellier, nous entrons dans la cuisine, de la cuisine dans le salon séjour. Il n’y a personne. — Oh ! Euh ! Han ! Julienne geint, c’est sa voix. Les gémissements viennent de la chambre à coucher. Juliette fronce les sourcils. Je lui fais signe de faire silence. Arrivés près de la porte, nous nous rendons à l’évidence : sur mon lit, de dos, Louis, pieds et jambes en équerre fait monter et descendre son cul. À ses cuisses s’accrochent de part et d’autres les talons de petits pieds. Ça se passe dans ma maison, j’ai reconnu la voix de ma femme, c’est donc sa vulve et ses fesses que nous voyons chaque fois que le fessier monte en extrayant une verge nue, sans trace de préservatif. Le tunnel rose lance un bref éclair avant d’être envahi à fond. Louis s’en donne à cœur joie et Julienne l’exhorte à bien la baiser, à y aller plus fort : — Oui, oui, baise, baise-moi fort, encore, plus fort, oui. Ah ! ...
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