1. Drôle de rencontre dans une discothèque


    Datte: 03/06/2021, Catégories: 2couples, extraoffre, cocus, boitenuit, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, entrecoup,

    ... caressa le cou, le torse, le ventre, les cuisses… Puis elle revint sur ma verge, mes testicules qu’elle léchouilla au passage, elle fit des allers-retours en me passant ses doigts dans la raie des fesses.« Quelle petite salope ! » pensais-je. Puis elle entreprit de me faire une fellation. Elle m’aspira le gland puis la verge toute entière, elle commença un lent va-et-vient avec ses lèvres. C’était divin ! Soudain, nous entendîmes frapper à la porte, qui sans attendre, s’ouvrit… Tristan entra. Il était vêtu d’un peignoir blanc. — Maintenant je crois qu’il est temps d’y aller ! dit-il d’un ton sans ménagement. Nous sortîmes de la douche, nous nous séchâmes puis nous enfilâmes un peignoir. Nous le suivîmes en empruntant un long corridor. Après avoir parcouru une dizaine de mètres, il s’arrêta devant une des nombreuses portes. Elle était fermée. Tristan sortit un trousseau de clés et l’ouvrit. — Entrez ! dit-il. La pièce était une vaste chambre avec en son centre, un grand lit rond qui devait faire plus de deux mètres de diamètre. Il était recouvert d’une couverture en velours rouge carmin sur laquelle étaient disposés quatre coussins noirs. Une dizaine de bougies parfumées diffusaient une clarté apaisante et dégageaient une odeur sensuelle. Sur les murs couleur bleu nuit, il y avait des dizaines de tableaux représentant des couples enlacés dans les différentes positions du Kamasoutra. Quelques statues érotiques étaient posées à même sol. Accolée à un des murs, une banquette en ...
    ... cuir noir et un fauteuilEmmanuelle en osier donnaient un air voluptueux à cette pièce. Enfin dans le fond, une ouverture sans porte en forme d’arche menait à un petit hall qui donnait directement à une salle de bain privative de type mauresque. Dans un recoin il y avait un petit réfrigérateur. On pouvait sans risque de se tromper, dire à quel usage était destinée cette chambre : c’était un endroit voué à tous les fantasmes sexuels. Une chambre des plaisirs. Tristan se dirigea vers un petit meuble il l’ouvrit, manipula une télécommande puis une musiquelounge se répandit dans la pièce. C’était de la musique de Claude Challe, un des princes originels du célèbreBuddha bar de Paris, des sons érotiques et envoûtants. Je suis un vrai fan de cette musique sur laquelle Sonia et moi faisons souvent l’amour. — J’ai programmé trois heures de musique non-stop, dit-il fièrement.— Maintenant, enlevez vos peignoirs, ajouta-t-il en s’asseyant dans le fauteuil. Lui était déjà nu. Il commençait à se caresser. — Luigi s’il te plaît, va t’asseoir dans le canapé, ordonna Tristan d’une voix presque militaire. Et quoi qu’il arrive, je ne veux pas que tu te touches ! Bien que n’étant pas habitué à recevoir des ordres de cette façon, je m’exécutai sans broncher, en jouant le jeu qu’il avait instauré. — Sonia et Armelle, je voudrais que vous dansiez en vous caressant mutuellement, je veux que ça soit chaud, très chaud, puis lorsque je vous le demanderai vous irez vous allonger toutes les deux sur le ...
«12...567...14»