La jeune agricultrice « Label Rouge »
Datte: 03/06/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
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intermast,
Oral
pénétratio,
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... êtes où de votre développement ?— Au rythme où vont les choses, j’en ai encore pour une bonne petite année de boulot. Le mardi matin, départ de Paris-Orly à six heures vingt. Comme prévu, j’arrive près de Castres chez mon sous-traitant à inspecter presque trois heures plus tard. Ici, le patron est multi-fonctions, il a l’œil sur tout. À midi, ne pouvant pas m’accompagner au restaurant, il confie cette tâche à son épouse Bernadette qui m’emmène dans un coin magnifique des environs. Cette femme cultivée, mère de trois enfants, est d’un commerce agréable. Elle me parle de la région, de son histoire et se propose de me faire inviter à une « soirée tapas » chez sa belle-mère qui en organise tous les dimanches, dès la fin de l’après-midi, autour de sa piscine, face à l’Agout. Un salon campagnard en quelque sorte. — Vous parlez de la mère de votre mari, je suppose ?— Ah non, pas du tout, je parle de la veuve de mon père qui était remarié. J’accepte cette invitation avec les plus grandes réserves. En effet ma mission, sauf imprévus, est censée se terminer vendredi soir. De plus, le samedi soir, j’ai rendez-vous dans un bar à huîtres de Saint-Germain des Prés à Paris avec mon ami Karl, un vieux copain d’études et de bringue. Il doit m’y présenter une copine de sa copine, une Allemande de Dresde plus que timide, mais super bien bâtie, qui serait en manque complet de garçons et à la limite de la déprime. Comme le 14 juillet tombe un mardi, j’aurai un week-end prolongé pour lui remonter ...
... le moral. Mais tout cela est une autre affaire. En contrepartie, une « soirée tapas » au bord d’une rivière, c’est aussi une chose sympa… surtout si de nombreuses femmes belles, sympas et disponibles y participent. Mais je dois faire attention à ne pas trop rêver : du fantasme à la réalité, il peut y avoir un certain écart, pour ne pas dire un écart certain. Le repas de midi terminé, Bernadette me raccompagne à l’usine où je reprends mon travail de fourmi sur les logiciels de contrôle-qualité. En fin d’après-midi je découvre un certain nombre de défauts très mineurs qui, dans certains cas, conduisent à saisir deux fois une même information. Malgré tout, le risque d’erreur est des plus limités. À l’extérieur, le temps est au plus beau avec un ciel bleu pâle sans nuages. Cela a pour effet d’abaisser le niveau de mon attention au travail et la rigueur de mes critiques. Les défauts découverts étant de très faible gravité, je décide de ne pas les mentionner sur mon rapport. Je n’ai qu’une envie : c’est de rentrer à l’hôtel le plus tôt possible, de baratiner éventuellement une cliente désœuvrée avant le dîner, puis d’aller m’installer dans ma chambre la fenêtre grande ouverte pour continuer la programmation de mon logiciel. Les belles balades régionales et les aventures éventuelles seront pour plus tard : demain, si j’ai plus de pêche. Je quitte l’usine de Castres vers six heures avec mon moral en bandoulière d’avoir à faire un si long trajet. Environ une heure plus tard j’arrive à ...