1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°744)


    Datte: 03/06/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... m’interroge le Maître. - Oui Maître très content, et vous présente mes humbles remerciements pour tout ce que vous faites pour moi, Vénéré Maître. - Bien ! Deux choses encore à te dire. Ce soir Monsieur Armand a organisé pour la soirée une petite distraction… Nous sommes attendus d’ici une dizaine de minutes. Nous ne trainerons pas, car demain, je t’emmène voir une de mes vieilles connaissances. Cette personne habite à Lausanne, nous aurons donc un peu de route à faire. Nous y sommes attendus pour dix heures, nous déjeunerons sur place. Je reçois l’ordre de me lever et comprends que je n’aurai pas d’autres éléments d’informations pour ce soir. Le Maître me tend une chasuble en fourrure polaire. - Tiens passe ça, je ne veux pas que tu es froid en traversant la cour, il fait un peu frais ce soir… Le vêtement à deux pans, avec une ouverture pour la tête, sans manche, couvrant mes épaules, mais tout juste mes fesses et mon sexe. Le Maître m’ajuste un collier métallique sur lequel sont gravées Ses trois Nobles lettres – MDE - en lettres dorées. Il y fixe une laisse, une simple mais lourde chaine. Nous regagnons la grande et vaste salle où se déroulent toutes nos perverses activités. Les gravillons de cette cour m’irritent les pieds, j’ai du mal à avancer. Le Maître tire sur la laisse en maugréant. - Alors, tu ne vas tout de même pas me dire que ces simples graviers t’empêchent d’avancer ! C’est vrai, il fait frais ce soir, je frissonne et suis bien content de me retrouver au ...
    ... premier étage de ce bâtiment particulièrement bien chauffé. Monsieur Armand est là avec une charmante mais néanmoins bien perverse Domina. - Le petit biquet à froid ? lance-t-elle avec une évidente ironie, puis elle reprend : Ici nous savons réchauffer les salopes de ton espèce… A poil ! J’ôte la chasuble, elle s’en saisit et la jette au sol. Elle me regarde de pieds en cap, me dévisage. Je tiens la tête baissée, le regard au sol. De son index, elle soulève ma nouille molle et mes couilles rabougries. - J’ai connu mieux, pas jojo tout ça… un pauvre petit service trois pièces bien peu vigoureux… Ma bite retombe sur mes couilles, bien qu’humilié, je ne parviens pas à bander (ce qui est rare) J’en ai presque honte. Honte de ne pas pouvoir exprimer ma fierté d’appartenir à Monsieur le Marquis d’Evans. Lui, papote avec une autre Dominante. - Tiens salope, plonge ta main dans ce panier et attrape un petit papier. J’obtempère. - Ouvre et lis ! - Numéro 15, Madame. Monsieur Armand tout près, un feutre marker en main s’approche, m’ordonne de me retourner vers lui. Il inscrit sur le haut de ma poitrine le chiffre 15. Puis il exige que je me retourne, que je lui présente mon cul. Il écrit le même chiffre sur le haut de ma fesse gauche. - Au suivant ! Au fur et à mesure que les esclaves arrivent avec leur Dominant, tous doivent tirer un bout de papier, tous sont marqués de la même manière, avec un numéro différent. L’idée de n’être plus qu’un numéro m’excite, ma nouille s’emballe et ...