1. L'apprentissage d'Arnaud


    Datte: 04/06/2021, Catégories: fh, ffh, jeunes, Inceste / Tabou vacances, amour, noculotte, Oral pénétratio, mélo, amourcach,

    ... repartais pour un autre contrat. Bientôt j’ai été connu dans le monde du compagnonnage et n’ai plus eu de difficultés pour trouver des employeurs. Mais surtout j’élargissais mes connaissances, apprenant les particularités de chaque atelier. Dans chaque nouvelle résidence, le plus souvent je louais le logement, que libérait mon prédécesseur. En effet, les compagnons avaient une très bonne réputation auprès des propriétaires. Et souvent nous assurions également la continuité dans leurs relations amoureuses. Les compagnes connaissaient nos conditions de vie et savaient que c’était purement sensuel. Une fois, j’ai trouvé refuge chez une veuve de compagnon. Son mari était mort un an auparavant dans accident en se rendant au boulot. Cela est considéré comme accident du travail. Elle était jeune, la trentaine et avait deux enfants de quatre et deux ans. Elle était femme au foyer et touchait certes une pension pour elle et ses enfants. Mais pour améliorer ses revenus, elle louait une chambre aux compagnons. Elle était belle, mais sérieuse, l’on avait pour recommandation de ne pas l’importuner et tous ses locataires respectaient cette consigne. Je la trouvais désirable, mais ne tentait en rien de la séduire. Mais il m’était difficile d’inviter une fille dans ma chambre. Depuis deux mois je n’avais pu faire l’amour et cela me pesait. Le soir, lorsqu’elle avait couché les enfants, nous regardions tous deux la télévision. Parfois les programmes ne nous intéressaient pas et nous ...
    ... restions à discuter. Un soir, elle était triste. Elle m’a avoué qu’elle ne pouvait pas se consoler de la mort de son mari. Heureusement le fait d’avoir des locataires compréhensifs lui permettait de tenir le coup. Elle constatait que je n’avais aucune liaison féminine et m’a demandé si cela ne me manquait pas. J’ai admis que si, mais c’était difficile ici. Elle m’a avoué que son mari et elle faisaient très souvent l’amour. Cela lui manquait, mais elle ne pouvait se permettre de prendre un amant compte tenu de sa situation familiale. Un silence s’est établi. J’ai décidé de l’embrasser, malgré le risque d’une réaction outrée. Au contraire, elle a accueilli mes lèvres avec passion et nous avons fait l’amour. Elle m’a avoué qu’elle n’avait plus connu d’homme depuis son veuvage. Quand je me suis présenté, elle avait constaté une ressemblance avec le défunt et m’avait désiré. Pendant les quatre mois restants, j’ai eu une maîtresse ardente qui ne manquait pas de me provoquer quand elle jugeait que je la négligeais. Lorsque j’ai terminé mon contrat, je craignis les difficultés de cette séparation. Pourvu qu’elle ne se soit pas fait d’illusions, malgré sa promesse. Au contraire, la veille du départ, elle m’a offert une nuit formidable et le matin nous nous sommes quittés amicalement. Depuis, nous nous téléphonons quelquefois en toute amitié. À vingt-six ans, j’ai connu plus de dix villes différentes et je possède mon métier à fond. J’ai décidé de me rapprocher de ma région, pour pouvoir ...
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