1. L'apprentissage d'Arnaud


    Datte: 04/06/2021, Catégories: fh, ffh, jeunes, Inceste / Tabou vacances, amour, noculotte, Oral pénétratio, mélo, amourcach,

    ... visiter les différents ateliers. J’ai retrouvé un collègue avec qui j’avais obtenu le BTS et fait connaissance d’autres dont j’avais entendu parler. Les différentes réalisations des autres corps de métier nous ont émerveillés. Nous sommes allés en dernier à la ferronnerie. Nombre de chefs-d’œuvre étaient présentés, Nancy les a admirés et en a profité pour relever des détails intéressants. J’ai admiré le compagnon qui œuvrait à l’enclume. C’était un artiste. Ce qui m’a surpris, c’est la vitesse à laquelle il exécutait la pièce en cours. Je me suis fait connaître, l’ai félicité, mais l’ai laissé continuer les explications aux visiteurs. Une main m’a touché à l’épaule, c’était Nancy qui venait me rejoindre. — Arnaud, tu as fait une touche.— Penses-tu, je suis trop vieux.— Sans le laisser voir, regarde la fille en robe bleue qui est dans le coin. Elle est là depuis notre arrivée et ne te quitte pas des yeux. Elle est magnifique. Je te laisse le champ libre le cas échéant.— Attends, laisse-moi voir si elle vaut le coup. L’air de rien, très discrètement, je jette un coup d’œil. — Nom de Dieu ! Audrey…— Tu la connais ?— C’est la fille de ma belle-mère, je t’en ai parlé.— Ah, c’est elle !— Viens, on va la voir. Je prends Nancy par la main et fonce vers Audrey. Celle-ci fait semblant de ne pas nous avoir vu venir et essaie de se défiler. D’une voix forte, je l’appelle : — Audrey… Audrey, attends-moi. Elle ne peut que s’arrêter, me regarder et prendre l’air étonné. — Oh, Arnaud, je ...
    ... ne t’avais pas vu. Comment vas-tu ?— Très bien, et ta maman, et toi ?— Nous allons bien ainsi que ton père, mais tu as de ses nouvelles.— Oui. Audrey, je te présente Nancy, ma patronne. Elle est venue, comme moi, admirer les magnifiques réalisations. Nancy, voici Audrey, dont je t’ai déjà parlé.— Vous êtes venus passer la journée ici ? Mais tu ne viens pas voir ton père et ma mère ? Tu passeras à ta maison ?— Oui, je compte venir cet après-midi.— Mais venez déjeuner avec nous, je préviens maman.— Mais je ne veux pas vous déranger… Trop tard, elle l’a déjà appelé et j’entends les exclamations de joie de Magali. Elle nous attend à midi. — Je vous laisse, nous dit Audrey, je vais l’aider. On vous attend.— Bon merci, nous viendrons tous les deux. Mon doigt tremblait quand j’ai appuyé sur la sonnette. Pourtant j’étais chez moi. Un pas précipité dans le couloir, on nous attendait. C’est Magali qui nous a ouvert la porte. — Oh, Arnaud, entre. Que je suis heureuse de te voir.— Bonjour, Magali. À peine le seuil franchi, elle me prend dans ses bras comme si j’étais son enfant. Elle pleure à chaudes larmes. Tout au fond, je vois mon père qui s’avance, ému lui aussi. Il me serre dans ses bras sans qu’aucun de nous deux ne puisse murmurer un mot. Nous suivons Magali dans la cuisine où Audrey est fort occupée. — Je vous remercie de nous avoir invités. Je vous présente Nancy Meunier, la fille de mon patron. Elle est venue admirer les pièces des compagnons.— Mademoiselle, soyez la bienvenue ...
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