1. L'apprentissage d'Arnaud


    Datte: 04/06/2021, Catégories: fh, ffh, jeunes, Inceste / Tabou vacances, amour, noculotte, Oral pénétratio, mélo, amourcach,

    ... consulté pour le style. Il reconnaissait que c’était affreux, mais n’y pouvait rien. Froidement, je leur ai dit que je ne remettrai plus jamais les pieds dans ma maison tant qu’elles y habiteraient. Car elle m’appartenait, c’était mes grands-parents qui l’avaient offerte à maman, c’était consigné sur le contrat de mariage. Donc, j’étais l’héritier. Je suis allé dormir à l’hôtel. J’ai retrouvé mon monde avec ses obligations, ses rigueurs, mais surtout mes camarades, mes joies. J’ai poursuivi mes études, préparant un BTS. J’avais écrit dès le lendemain à mon père pour m’excuser de la manière brutale avec laquelle j’avais réagi lors de ma visite. Je n’avais rien contre lui, au contraire je l’aimais beaucoup. Je lui proposais de se retrouver les week-ends chez mes grands-parents maternels ou dans un autre lieu, là où il voudrait quand il serait libre et pendant le mois de congé que je passais chez Papé et Mamé. L’été, Marion partait avec son copain en vacances pendant quelques semaines puis revenait au village. Céline était devenue une magnifique femme. Elle voulait être initiée, et a demandé à sa sœur de me convaincre de tout lui apprendre. À mon insu, elles ont imaginé un stratagème. Un après-midi, j’attendais ma maîtresse, et j’ai vu arriver les deux sœurs. Surpris, j’ai pensé que nous ne pourrions pas nous aimer. Je me suis approché pour embrasser Marion sur les joues. Elle a pris ma tête à deux mains et m’a roulé un sacré patin. Étonné, mais heureux, je me suis demandé ce ...
    ... qui allait se passer. Me libérant, Marion me dit : — Tu n’embrasses pas Céline ? Elle va être jalouse.— Oui, naturellement… Cette dernière, les joues un peu roses, me regardait d’un air innocent. J’ai compris alors qu’elles avaient choisi cette manière pour m’amener à lui faire part de mes connaissances. Mais j’ai joué le candide, me suis penché, lui ai posé un baiser sur les deux joues. C’est elle qui a légèrement tourné la tête, nos lèvres se trouvant en contact. Alors, délicatement, j’ai commencé son apprentissage. L’élève était douée et faisait preuve de beaucoup de bonne volonté. Tout ceci sous le regard de la sœur aînée qui lui prodiguait ses conseils. Quand je l’ai relâchée, le sourire de l’élève m’a montré qu’elle avait apprécié la leçon. — Arnaud, me dit Marion, j’espère que tu ne vas pas me laisser tomber ! Céline, regarde bien, cela te servira. Et toi, occupe-toi de moi, ne m’abandonne pas. Je suis toute à toi ! Me plaçant derrière elle, j’ai glissé mes mains sous le polo et j’ai trouvé la poitrine libre. Marion a levé les bras et j’ai pu retirer le vêtement. Elle s’est allongée et j’ai commencé à honorer ses seins sous le regard attentif de Céline. Nous avons ainsi poursuivi nos ébats sur le haut du corps, caressant, suçant, pinçant les bourgeons. Un regard curieux suivait nos ébats. Se redressant soudain, Marion dit : — Maintenant que tu as bien observé, viens qu’il t’explique. Tu verras, c’est drôlement agréable.— Je n’ose pas, dit-elle en rougissant.— N’aie pas ...
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