Obéissante
Datte: 05/06/2021,
Catégories:
fh,
couple,
nympho,
fsoumise,
hdomine,
humilié(e),
contrainte,
Oral
pénétratio,
coprolalie,
jeu,
sm,
attache,
fouetfesse,
totalsexe,
fsoumisah,
... louve, peu importe : je me sens à la fois avilie et sublimée. — Oh oui ! Encore ! Encore ! Plus fort ! Il s’agite en moi, me barate. J’adore le sentir se démêler, quand sa queue coulisse en moi, quand elle m’échauffe, quand elle me brûle les entrailles. Quand je me sens tellement chienne, quand il me possède ! J’ai envie d’un petit plus ; je le lui réclame sans aucune honte : — Encule-moi ! Fais-moi bien sentir ta grosse queue dans mon trou du cul !— Pas question : c’est moi qui commande, petite salope ! Et je te signale que je suis ton Maître et que tu dois me vouvoyer. Toujours bien campée sur mes genoux et mes bras, allègrement secouée par ses va-et-vient infernaux, je grogne, oubliant de le vouvoyer : — D’habitude, tu ne te fais pas prier pour me défoncer le cul !— D’habitude, peut-être. Mais aujourd’hui, ce n’est pas comme d’habitude. Et maintenant, tais-toi et jouis ! Je suis presque déçue qu’il ne veuille pas m’enculer. J’aime qu’on me défonce le cul quand c’est comme ça. Le côté « pute » de la chose m’excite à fond ! Mais se faire tringler normalement est aussi très bon ; il ne faut pas non plus rechercher à tout prix les choses un peu spéciales… Et puis, sa bouffée d’autorité m’émoustille ! Ses coups de piston deviennent de plus en plus puissants ; on dirait qu’à chaque fois mon Maître arrive à s’enfoncer plus ...
... loin encore en moi. Quelque part, c’est vrai que s’il était dans mon cul, je dégusterais sévère ! Est-ce un bien, est-ce un mal ? Douleur et plaisir font parfois bon ménage. Soudain, telle une vague immense et démesurée, je jouis. Tout mon corps s’enveloppe d’une sensation de bien-être fulgurante, je vois des étoiles partout. Tandis que je manifeste mon plaisir par des petits cris, je l’entends grogner derrière moi, ses doigts toujours bien agrippés à mes hanches. Sa semence chaude vient inonder mon ventre, tel un flot impétueux quand le barrage cède ! Je me sens bien, je me sens pleine, comblée. J’aime ce plongeon dans la luxure avec lui. Luxure, débauche, dépravation, perversion, vice, peu importe le mot ! Maintenant, je vais m’assoupir un peu, profiter de cette jouissance intense que j’ai eue, me laisser bercer par cette quiétude qui m’envahit, me laisser sombrer, les entrailles bien remplies de sperme, de ce foutre qui bientôt dégoulinera hors de moi, me souillant les cuisses. Mais ça m’amusera de voir sortir cette preuve qui était en moi. Peut-être que nous recommencerons, peut-être pas. Qui peut le dire ? Aujourd’hui, j’avais envie de me sentir chienne entre ses mains. Et la prochaine fois, ce sera encore pire… Je l’espère ! Un énorme merci à ma chère femme adorée pour le mail initial, et surtout pour tout le reste !