Post-divorce - épisode 18
Datte: 05/06/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Hardcore,
Inceste / Tabou
Chapitre 18Avant qu’ils ne partent, De Bontier, Louis-Henry et Guillaume se sont accordés pour que rien de radical ne me soit infligé pour le moment. Je dois par contre laisser pousser mes cheveux naturellement et me rendre disponible s’ils m’appellent ou me demandent de participer à une séance de « Punition Extrême ». C’est à cette occasion que le trio me confirme que les « décors » de l’émission – y compris le terrible fauteuil mécanique et la trayeuse – sont hébergés dans les sous-sols de la maison.A ce stade, Guillaume me propose de reprendre ma vie en main mais après une brève discussion, j’appelle mon boulot pour étendre mes congés d’une semaine supplémentaire.Il m’organise un planning journalier qu’il m’applique durant les dix jours qui suivent.En premier lieu, il exige que je sois dorénavant habillé exclusivement en femme.Ensuite, tous les matins une fois le petit déjeuner pris sur la terrasse, il m’inflige une heure de trayeuse puis une fois que je suis totalement distendu, une heure de « mise en perce » : toujours attaché sur le fauteuil mécanique, je suis sodomisé par une machine avec un bras amovible sur lequel sont fixée des godemichets de plus en plus larges.Après le déjeuner, il est temps de laisser mon corps se reposer et Guillaume s’occupe de faire de moi « une vraie femme » : déjà, il achève mon épilation définitive, y compris sur mon visage. J’apprends ensuite à marcher avec des talons, me maquiller de façon autonome et travailler ma gestuelle et mon ...
... phrasé. Guillaume est un professeur patient et appliqué. Quand je le lui dis, il m’explique qu’il a déjà coaché pas mal de « créatures dans mon genre » et finit par avouer que Dominique a d’ailleurs été du lot et qu’elle est ensuite restée en couple avec lui durant deux ans.Avant le dîner, je repasse une heure sur la trayeuse.Le soir après un souper frugal, nous descendons dans sa pièce équipée afin qu’il me torture. Pinces, poids, aiguilles, électricité, écartèlement… tout est bon pour que je finisse hurle et supplie, terminant épuisé et haletant, brisé par l’effet douleur/orgasme.La nuit, je dois porter l’espèce de coque-culotte sur le modèle de celle qu’on m’avait déjà infligé ainsi qu’une sorte de soutien-gorge barbare qui développe mes tétons. Le rituel pour enlever les appareils avant que je ne passe à la trayeuse est toujours une source d’orgasmes masochistes intenses.Lorsque je quitte la demeure de Guillaume le samedi matin suivant, ma capacité à avoir l’anus défoncé est démultipliée mais grâce à son traitement progressif, j’ai conservé une élasticité anale surprenante. Je peux aussi doigter ma verge, mes tétons ressemblent à deux petits cornichons rosés et mes testicules – bien que libérés du lourd anneau d’acier que je portais depuis la séance en Cam et que Guillaume a retiré seulement ce matin – sont distendues. Fruit de l’extrême habileté de mon pygmalion, mon corps toujours lisse de toute pilosité ne porte aucune marque des sévices que j’ai subis.Pour mon départ, ...