1. Tu l'as cherché 9


    Datte: 05/06/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... mon mariage et une situation appréciable, je renonçai à mon désir de garder ma virginité jusqu’au mariage. J’ouvris mon cœur, mes bras, mes cuisses et offris mon petit trésor si convoité à un fiancé fougueux qui eut tôt fait de me faire apprécier ses démonstrations amoureuses. A l’exemple de ma mère je me soumis aux élans, aux mouvements fascinants d’une verge. Dès avant le mariage je pus mesurer l’avantage d’être aimée et initiée à la volupté par un fiancé expérimenté puis par un mari inventif. Les folles nuits d’amour se succédaient plus surprenantes, plus enivrantes les unes que les autres. Je recevais des recommandations : - Accroche tes pieds ici…. Arrondis ton dos… tire sur tes lèvres…caresse-toi devant moi… suce… lève ce pied… écarte tes fesses…monte et descends, bouge, ouvre la bouche, etc. Et j’écartais, je tirais, je levais, je suçais, je tendais les fesses, me laissais prendre le petit, enfin je me pliais à toutes les fantaisies, j’adoptais des positions acrobatiques pour le bonheur d’Alain qui s’ingéniait à renouveler les angles d’attaque et pour celui plus personnel de découvrir les petits plus des variations multiples de l’union des corps. Alain était génial ! Je l’encourageais en exagérant parfois l’intensité de mes gémissements mais en suivant toujours scrupuleusement ses consignes. Le hasard, encore lui, me fit découvrir, un jour, deux ou trois livres illustrés, sources vraisemblables des inventions de mon mari. Je gardais pour moi le secret de cette ...
    ... découverte, j’ étudiais en douce les nouveautés et, à l’occasion, Alain fut agréablement surpris de me voir précéder ses désirs et adopter comme spontanément les poses les plus inattendues. Je devançais ses ordres, cela le ravissait - Ah ! Ma chérie, quelle femme merveilleuse tu es ! Mon mari était satisfait, j’étais une épouse comblée. Mais qu’y a-t-il de plus difficile à conserver que le bonheur ? Je m’étais concilié les bonnes grâces de plusieurs employées de l’entreprise, Doris, Sophie et Jeanne en particulier, comme relaté aux chapitres 7 et 8. Que Sophie ait à se plaindre d’un mot de travers de son mari, que Jeanne doute de la fidélité de Bob, elles se tournaient vers moi et je trouvais toujours un temps et un endroit où, en épouse heureuse, je pouvais les consoler, quitte, si c’était nécessaire, à compléter mes paroles par quelques gestes tendres, baisers sur la bouche ou fort semblables à nos premières caresses sur les parties les plus intimes de nos jeunes corps gourmands. J’accordais quelques faveurs et en recevais au centuple. La plus assidue était Doris. Elle me racontait des histoires à dormir debout pour le seul plaisir de s’isoler avec moi et de recevoir des consolations verbales mais surtout des marques de tendresse. Elle m’attirait chez elle et nous finissions au lit, nues et déchaînées, des instants sublimes. Jamais je ne me serais crue capable de donner tant à ces amies. Elles en profitaient, savaient m’attendrir et je tombais volontiers dans leurs pièges, parce ...