Le repas est servi, Maître !
Datte: 06/06/2021,
Catégories:
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... si Sylvie désire poursuivre dans ce jeu de rôles. Je n’ai même pas la peine de l’interroger à ce sujet qu’elle me signifie entre deux sanglots : – Maître, tant le premier coup était violent et inattendu que j’en ai oublié de le compter. Pouvez-vous me punir de dix coups supplémentaires, s’il vous plaît, mon bon Maître ? Karl est rassuré qu’il n’y ait aucun incident et s’enfonce dans son fauteuil pour mieux en apprécier le spectacle qui se joue sous ses yeux. – Finissons tout d’abord ce châtiment comme il se doit ! Je prends votre premier cri pour un compte. Concentrez-vous attentivement pour les prochains, je vous laisserai suffisamment de temps pour récupérer vos esprits. Êtes-vous prête ? – Merci, mon Maître. Je suis prête, Maître. Comme un athlète qui se prépare juste avant la compétition, Sylvie opère une hyperventilation tout en se concentrant pour recevoir les neufs autres salves qui, elle le sait, seront cuisantes. Le second coup est tout aussi violent que le premier. Sylvie hurle le chiffre « DEUX » avec une telle maîtrise qu’elle en exprime sa douleur dans la prononciation de ce chiffre. Elle reprend rapidement de l’air comme si la ventilation de ses poumons refroidissait la cuisante morsure du coup de cravache. Le troisième, quatrième et cinquième coups lui sont portés en rafale et tout aussi fort que les deux premiers. Elle en est déstabilisée et compte à contrepied. Dès le chiffre CINQ exprimé, le sixième lui est asséné sèchement et avec une incroyable violence. ...
... Elle hurle sa douleur à n’en plus finir au travers du chiffre SIX. Ses sanglots font place à des pleurs continus. J’abrège sa souffrance en lui attribuant les quatre derniers coups en rafale qu’elle compte un à un. Elle est soulagée, mais totalement en pleurs, de désigner le chiffre DIX. – Vous pouvez me remercier… – Merci, mon Maître. Merci, mon bon Maître. Vous êtes infiniment bon pour moi, mon bon Maître. Ses derniers mots se noient dans ses sanglots. Elle me baise chaque doigt de la main que je lui tends. J’en ai mal pour elle. J’en souffre pour elle. Mais je suis tellement fier d’elle, qu’elle ait franchi ce cap de soumission en si peu de temps. – Karl, Sylvie, veuillez reprendre vos positions initiales. Sylvie descend à reculons de la table, la robe relevée et le slip aux genoux tant ses fesses meurtries jusqu’au sang lui font atrocement mal. Karl se positionne sur la table et se demande s’il aurait été aussi courageux que sa femme à supporter ces souffrances. Dire qu’initialement Sylvie avait accepté cette éducation pour lui faire plaisir… Le visage enfoui dans les mains et les fesses bien relevées, c’est dans cette position totalement incongrue qu’il découvre combien il aime son épouse. – Soumise ! Rajustez votre tenue ! Avec beaucoup de difficulté, elle remonte sa culotte sur ces fesses. Elle laisse échapper des gémissements de douleur même lorsqu’elle rabat sa robe. Elle est toujours en pleurs et ne cesse de renifler. Son nez coule en grande guirlande. Sa robe en est ...