Bientôt gouine
Datte: 07/06/2021,
Catégories:
f,
ff,
fplusag,
fagée,
enceinte,
grosseins,
poilu(e)s,
magasin,
Masturbation
intermast,
Oral
69,
fgode,
uro,
ecriv_f,
... heures… Moi qui n’avais jusqu’à lors, pour toute vie sexuelle, que quelques revues pornos, un gode, et mes fantasmes… Le clito énorme de Sandrine m’avait beaucoup excité, j’y pensais encore, et j’avais encore dans la bouche le goût de sa chatte poilue. Je bougeais légèrement sur le fauteuil en cuir, un frisson parcourant ma vulve. Serviette sur la tête, je m’installai pour me faire coiffer par Clarisse. Elle portait un jean, des bottes western et un chemisier à carreaux, sa tenue préférée et intemporelle. Elle avait défait comme d’habitude les 4 premiers boutons de son chemisier. Elle bougeait son bras, muni du séchoir à main, de droite à gauche, et j’avais les yeux rivés sur son décolleté. Elle avait une poitrine plate, d’énormes tétons gonflés de couleur claire, dont les bouts étaient très longs et très épais. D’habitude, je m’en régalais furtivement pour pouvoir me masturber seule, plus tard. Mais tout cela avait changé, depuis nos étreintes avec ma voisine… Je me sentais pousser des ailes. Je voulais flirter avec Clarisse. Coup de chance, elle finissait de me laquer lorsque la jeune apprentie demanda la permission de sortir pour fumer une cigarette. Aussitôt la jeune fille dehors, je me levai pour payer Clarisse, faisant mine de chercher mon portefeuille dans mon grand sac, afin de réfléchir à mon approche. Elle me dit que je pourrais payer la semaine prochaine, que ça ne valait pas le coup, etc… Ses cheveux noirs lui arrivaient jusqu’à la taille, et je commençai à les ...
... caresser, en lui disant combien elle était adorable et combien j’aimais son brushing. Je caressais sa frange, et puis toute la longueur de la chevelure épaisse et soyeuse. Clarisse me souriait, penchant la tête vers moi. Encouragée par son manque de réticence, je l’attirai vers moi… Posant ma tête à la hauteur de son chemisier, l’écartant légèrement, je collai ma bouche sur le mamelon gonflé, que je baisai et mordillai avec ardeur. — Oh… mon dieu…, murmura la belle slave de 45 ans, tout en fermant les yeux. Puis, stimulant l’autre téton érigé, je m’empressai de le mordiller aussi. — Brigitte, que fais-tu…soupira-t-elle… Je mordillai les mamelons sensibles de cette poitrine plate, ma chatte maintenant mouillait abondamment. Clarisse m’entraîna dans l’arrière-boutique et ouvrit prestement la fermeture éclair de son jean, dévoilant un slip beige transparent, galbant un pubis entièrement chauve. Ma tête à la hauteur du sexe de la coiffeuse excitée, je fis descendre le slip complètement. Son nid était potelé, très lisse, aux lèvres minces et fermées. Je l’embrassai, le mordillai, avant de pointer ma langue vers les lèvres et la vulve que je léchai par mouvements très rapides, tel un vibromasseur. — Hummmm, gémit cette belle divorcée affamée de sexe, qui s’enfonça un doigt dans le vagin, m’aidant dans ma stimulation. Elle se baissa, son majeur glissant entre les lèvres minces de son sexe. Ma langue s’activait de plus en plus rapidement sur la vulve grossie par le désir… Soudain la ...