Ma drole de famille (20) - Histoires de Sexe

Ma drole de famille (20)

... j’aimerais bien faire l’expérience. –Bon, mais il faut commencer par une bonne toilette intime, suit moi. Nous allons dans les toilettes car elles sont équipées d’une petite douchette. Je la démonte et demande à Julie de se faire un lavement poussé. Elle sort des toilettes un quart d’heure plus tard, elle est toute guillerette. –Je te trouve bien joyeuse ma petite nièce. –Oui, en arrivant ici, je ne m’attendais pas à ce qui m’est arrivé, mais je découvre qu’en fait, je suis une dingue de sexe. –J’ai l’impression que c’est un peu de famille tout ça, tout le monde aime le sexe dans notre famille, et je dois te dire que ça me plait. –A moi aussi, j’entrevois des possibilités plaisantes. Nous rejoignons les autres, il est presque midi, tout le monde décide de manger avant de reprendre les activités sexuelles. Nous sommes tous à mettre la table quand le téléphone sonne. Ce sont les parents de Brigitte qui lui annoncent qu’ils seront là dans une demi-heure et qu’ils ont faim. C’est la catastrophe, mais la bonne humeur revient quand je décide d’emmener tout le monde chez moi après le repas. Les parents de Brigitte arrivent et nous mangeons, ce sont des gens charmants, mais à mille lieues de nos préoccupations du moment. Ce sont eux qui nous font comprendre qu’ils sont très fatigués, ce qui facilite notre départ pour ma maison vers treize heures trente. Quand nous arrivons, tout le monde s’égaille dans le parc. Je ferme le portail d’entrée, comme ça, nous sommes tranquilles. ...

... Seulement, j’avais oublié Hector qui va dire bonjour à tout le monde, mais qui tourne quand même un peu trop autour des filles et de moi-même. Je vais voir Alexandre pour lui faire part de mes craintes, mais il me dit que ce n’est pas important, on verra bien ce qui se passera. Aline, décidément très en forme aujourd’hui monte sur un transat. –Et si nous nous mettions en tenue pour la suite des évènements. –C’est-à-dire ? –A poil bien sûr, ici on ne craint rien, nous sommes entourés de murs pleins de deux mètres cinquante de haut. –Suivez-moi dans le salon. Tout le monde me suit, et nous nous déshabillons en plaisantant. Michel commence déjà à bander, il n’a pas encore assez l’habitude d’être à poil devant du monde, mais ce n’est pas sans intéresser Brigitte qui vient lui caresser le sexe et le fait se dresser à la verticale. –Cette fois-ci, il est pour moi. –Si tu le sens. –C’est ça, je veux le sentir, suis-moi. Elle se dirige vers les transats, mais la position ne lui plait pas. Elle revient au salon. –Laure, tu n’as pas de couvertures à nous prêter ? –Bien sûr, regarde dans la première chambre. Elle va chercher deux couverture, sort et en étale une sous un arbre, à l’ombre. Michel bande toujours, il se caresse pour entretenir sa raideur. Brigitte s’allonge sur le dos, Paule la rejoint et s’allonge à côté d’elle. –Et si il nous le faisait à toute les deux en même temps, un coup toi, un coup moi. –Je vous rappelle les filles que j’ai très mal dormi cette nuit et que je suis un peu ...