Géniteur !
Datte: 07/06/2021,
Catégories:
ffh,
Collègues / Travail
fépilée,
pénétratio,
québec,
hff,
... siens, met un peu de pression, elle ferme les yeux, sourit. Paule se déclare prête à recommencer, elle a trop aimé, je ne veux pas perdre le contact avec Sonia, je propose une position que beaucoup de femmes aiment car c’est elles qui décident du rythme. Paule accepte, je la fais s’installer à califourchon au-dessus de ma tige, lui dit de s’empaler. Sans plus d’instruction, elle s’active. Je tiens toujours la main de Sonia, elle me fixe, je plante mes yeux dans les siens, je donne des directives à Paule mais Sonia sait que c’est à elle que je m’adresse. Marc — Ne vas pas trop vite, prends ton temps, appuie-toi sur mon pubis, ton clitoris va être caressé, roule des hanches, fait monter le plaisir doucement en toi, caresse tes seins, ne pense qu’à ton plaisir, choisis le moment de l’orgasme, je bouge seulement si tu le demandes. Les yeux de Sonia brillent, j’ose poser la main sur sa chatte, la culotte est mouillée, je masse doucement l’objet que je désire tant, elle me fixe toujours, son souffle est court. Soudainement elle se dérobe, enlève sa culotte, prend ma tête à deux mains plaçant sa figure à quelques centimètres de la mienne, elle dit : — J’ai besoin de jouir, tu sais, tu ne m’aura pas. Aussitôt elle s’assoit sur ma figure. Je suis heureux, je peux la goûter. Paule se rend compte que Sonia me chevauche, elle lance : — Vas-y mon amour, il va te faire jouir. Elle fouille la chatte sans poils avec l’énergie du désespoir. Rapidement, elle s’agite. Je lui saisis les ...
... seins, elle attrape mes mains, les repousse, je la saisis à la taille, ma langue pénètre le tunnel d’où s’écoule son plaisir, je titille le bourgeon de chair. Elle se déchaîne, prend le contrôle, m’oblige à la caresser là où elle veut. Je tente encore de saisir ses seins, je crois qu’elle va encore stopper mon geste, elle enlève son soutien et le lance avec force puis saisit ma tête à deux mains. — Tu les veux mes boules, avoue mon cochon. Oh oui, joue avec mes tétons, j’aime ça, tu penses que tu vas me faire jouir mon cochon, c’est moi qui te mouille la face, je n’ai pas besoin de toi, elle te barbouille bien la lesbienne, tu vas t’en souvenir longtemps, c’est ça mon cochon, bois mon jus. Son discours m’excite tellement que je gigote comme un poisson hors de l’eau, de grands coups de bassin rapides font crier Paule, mes mains sont partout en même temps sur le corps de Sonia qui m’étouffe avec son pubis écrasé sur ma figure. — Oh oui, mon salop, je vais te faire cracher. T’aime ça, bourrer ma copine, avoue. Je crie dans le con de Sonia qui râle comme une malade, Paule qui répète : — C’est chaud, c’est chaud. Chacun exprime sa jouissance bruyamment. Paule se laisse tomber sur le côté, je n’ai plus d’air, je soulève Sonia par les fesses, un énorme bruit de succion, l’air empli mes poumons, j’aspire à grandes bouffées. Sonia est toujours en extase, je la dépose sur mon torse, lui caresse une joue, elle recule lentement, lorsque ses fesses touchent ma queue elle s’empale sur moi, me ...