Un sacré dépucelage (3)
Datte: 07/06/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Mon voisin, ce salaud de partouzeur Rappel : je m’appelle Béatrice, j’ai la cinquantaine, mais à l’époque des faits, je venais d’avoir 18 ans. Après les épisodes « Mon dépucelage », « Ma première baise avec deux autres filles », voici « Mon voisin, ce salaud de partouzeur ». Je rentrais d’une partouze avec 6 blacks et deux superbes nanas, une blonde pulpeuse et une brune avec un corps de déesse. J’arrive devant la porte de l’appartement de mes parents qui, heureusement pour moi, travaillent et ne pourront pas voir dans quel état je suis. Pour info, j’ai du sperme dans les cheveux et sur mes habits. Je cherche mes clés et je ne les trouve pas. Mon voisin sort à ce moment-là et voit dans quel état je suis. Il devine tout de suite ce qui s’est passé et je vois sur son visage un petit sourire pervers. Il me demande si je veux venir chez lui pour prendre une douche. Il a la cinquantaine et je pense qu’à cet âge-là, on ne baise plus et que je ne risque rien à accepter, d’autant que je ne trouve pas mes clés et que mes parents vont finir par rentrer. J’accepte donc de venir prendre une douche chez lui. Je suis rassurée en rentrant car sa femme est dans le salon et discute avec un couple d’amis. Mon voisin, après avoir dit quelques mots à l’oreille de sa femme, me montre la salle de bain. Une fois mon voisin parti, je cherche le verrou pour fermer la salle de bain, mais rien. Je me déshabille et prend ma douche tranquillement. Pas de visite inopinée, ouf ! J’ai peut-être parlé un ...
... peu vite : la femme de mon voisin vient « voir si tout va bien ». Je suis nue et elle me propose une serviette de bain pour m’essuyer. Elle prend la serviette et commence à m’essuyer le corps. Elle a un peu tendance à revenir sur les endroits les plus sensibles, comme ma chatte, mes seins, mon cul. Je commence à mouiller sérieusement et la femme s’en aperçoit. Elle me demande si j’aime me faire tripoter la chatte. Je lui avoue, dans un soupir, que oui. Son mari, qui était derrière la porte et que je n’avais pas entendu, rentre à son tour et me demande si « j’aime aussi la bite ». En disant cela, il avait sorti sa queue. Moi qui pensais qu’une fois la cinquantaine passée, les hommes ne pouvaient plus baiser, je me mettais le doigt… dans l’œil. En fait, il avait une sacrée queue le salaud. Sa femme me caressait la chatte et lui est venue se positionner pour essayer de me pistonner le cul. Il s’est donc placé derrière moi, le gland de sa bite juste à l’entrée de mon petit cul. Il me caressait les seins. Tout ça en même temps, cela faisait beaucoup pour moi, même si je commençais à avoir une certaine expérience en peu de temps. Il n’a pas eu à pousser très fort, mon cher voisin. Mon cul a avalé sa queue comme si de rien n’était, ce qu’il l’a amené à faire quelques commentaires : « La salope a le cul ouvert. Elle a gobé ma queue sans aucun effort. Je pense que son cul est déjà dilaté parce que qu’elle vient de se faire enculer, cette chiennasse. Hein, c’est vrai que tu viens de te ...