1. J'aime pas le foot


    Datte: 08/11/2017, Catégories: f, fh, ff, ffh, jeunes, voisins, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation fsodo,

    ... pas le temps et elle ne fait pas mine de vouloir se retirer. Elle avale tout avec gourmandise, puis après m’avoir bien nettoyé le sexe, elle remonte et m’embrasse encore, mélangeant nos salives et mon sperme. J’égare mes mains sur son corps, mais elle les repousse vite. — On ne touche pas ce soir. Pas ce soir ? Donc peut-être à un autre moment ? Pas de problème, je prends note. Retour dans le salon où Bruno, tout à son match, a à peine remarqué que nous avons été un peu longs. Une petite tache sur le canapé trahit l’action de la belle, qui se rassoit dans la même position, me donnant une vue imprenable sur son sexe nu et encore luisant. Je bande encore, bien que venant juste de jouir, et j’ai vraiment envie de m’enfoncer en elle. Pas ce soir, a-t-elle dit. Enfin, coup de sifflet final. Enfin, parce que ça devenait une torture d’être là à la regarder sans pouvoir rien faire. — Tu as vu ce match ? Alors, réconcilié avec le foot ?— Je dois dire que c’est le plus beau match que j’ai vu. Superbe partie, et le but était grandiose. Les joueurs étaient agiles et on voit qu’ils ont pris du plaisir.— Rien ne vaut un match comme ça. À part toi, ma chérie, évidemment Cette dernière phrase avec un clin d’œil pour moi. En fait, il préfère vraiment le foot aux femmes. — Avant de partir, je t’aide à ranger ?— Non, laisse, répond Véro. J’ai toute la matinée demain. Je ne bosse pas et Bruno part de 7 h 30 à midi pour surveiller une épreuve des premières années. Comme ça, je serai tranquille ...
    ... toute la matinée. Le tout dit avec un grand sourire et, là aussi, un clin d’œil, mais pas pour la même raison, je crois. Message bien reçu. D’ailleurs, lorsqu’elle me fait la bise, les trois premières très près des lèvres et la quatrième près de l’oreille, elle me glisse un tout petit : — À demain ». En rentrant dans ma chambre, je dois avouer que je n’ai pas dormi tout de suite. Même si je voulais garder des forces pour le lendemain, j’ai bien été obligé de me soulager une nouvelle fois. À sept heures vingt, j’étais garé tout près de chez eux, de manière à voir la sortie de son immeuble. 7 h 30 tapantes, Bruno sort, monte dans sa voiture et part. Aussitôt, je monte et sonne à la porte. Véro m’ouvre dans la même veste de pyjama qu’hier soir. À peine rentré, je la prends dans mes bras, l’enserre, l’enlace, la soulève et l’embrasse voracement. Sa langue et la mienne se cherchent, se trouvent, jouent ensemble, alors que je sens ses seins contre ma poitrine, puis ses jambes autour de ma taille. Nous nous dirigeons comme ça vers la chambre, quand on entend le bruit d’une clé dans la serrure puis la voix de Bruno qui dit : — J’ai oublié mon portefeuille et ma carte d’identité. Je repars. Nous sommes tétanisés, puis la porte se referme et on entend les pas s’éloigner dans le couloir (Eh oui, l’isolation n’est pas au top dans ces HLM). Véro se précipite vers la porte, redonne un tour de clé, puis va vers la fenêtre pour regarder s’il part bien. — C’est bon, tu as tout ?— Oui, à tout à ...
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