1. Le curé


    Datte: 08/06/2021, Catégories: fh, fhh, extracon, religion, Masturbation Oral pénétratio, Partouze / Groupe humour, cocucont, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... soir. Mais plus il la pistonnait, plus elle en demandait, et aussi endurant qu’il fût, l’impétrant n’était qu’un homme, et sa gourme lui a échappé alors que madame lui malaxait les couilles avec application. Après avoir engueulé le tireur précoce, elle s’est tournée vers son mari qui venait lui aussi de lâcher sa purée avec parcimonie sur la moquette. Quand elle a fait le tour pour me rejoindre, j’ai cru mourir. La belle – je l’appelle « la belle » pour être poli, mais en réalité elle était assez quelconque – la belle, disais-je, voulait une autre queue. En s’adressant à moi, officier du culte, elle ne montra aucun doute. Et puisque me croyant invisible j’avais quitté soutane, chaussettes, slip et maillot, la vision de mon corps flétri ne l’a pas outre mesure rebutée. La bourgeoise s’est littéralement jetée sur moi, me suppliant de la baiser (ce sont ses mots) jusqu’à plus soif (également ses mots). Mes vœux de pauvreté ? Check. Mes vœux d’obéissance ? Check. Mes vœux de chasteté ? Il me faudrait une séance de rattrapage. Je n’ai pas pu résister. Elle était trempée, elle puait le sexe, elle disait plein de cochonneries. Et je n’ai pas pu résister. Ce fut la première fois que je me servis de mon membre pour faire du bien, et à l’entendre, je m’y pris plutôt bien. J’avoue. J’ai aimé ça. J’ai aimé qu’elle me suce, qu’elle me masturbe, qu’elle me grimpe ...
    ... comme le lierre grimpe aux arbres pour s’empaler sur ma virilité. J’ai aimé qu’elle aille et vienne sur moi, qu’elle me prenne les mains pour que je malaxe son opulente poitrine. J’ai aimé qu’elle me crache dans la bouche, qu’elle m’insulte, qu’elle traite son mari de pédé, qu’elle demande à son amant de lui caresser le dos pendant qu’elle se trémoussait sur moi. J’ai aimé sentir le sexe de son amant pénétrer son gros cul et frotter contre mon engin devenu utile. J’ai aimé quand elle m’a interdit de me retirer pour sentir mon « jus de curé » lui inonder la chatte alors que mon associé se vidait dans son cul. Oui, j’ai aimé tout ça, aimé au point de remettre le couvert en prenant cette fois quelques initiatives pour la satisfaire. Il m’a fallu demander pardon à mon Seigneur et maître pour cette incartade inavouable, mais je sais que son amour est infini et que son pardon m’est acquis. Il m’aime comme il aime tous les hommes. Je suis en revanche plus inquiet quant à mon évêque. Il m’avait rassuré la première fois que je m’étais confessé à lui, mais cette fois, après m’avoir écouté sagement, il a fait mine de ne pas comprendre. J’ai eu beau illustrer ma confession de détails gênants, il a persisté à ne pas comprendre. Jusqu’au moment où il m’a demandé de l’inviter à l’occasion pour qu’il puisse constater de visu et in situ, de façon à se faire sa propre idée. 
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