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Etat des lieux
Datte: 08/06/2021, Catégories: Humour, Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme
Il avait été convenu d’un rendez-vous dans le studio. Celui dont les clés avait été restituées après que la fille Langlade fut partie. En l’occurrence j’avais rendez-vous avec la mère. Celle-ci voulait se donner pour solde de tout compte. C’est elle qui eut l’idée. Cela me parut scabreux mais n’écoutant que mon envie je dus convenir du bon sens de la proposition. Je n’avais cure du fric. Je l'eus volontiers passé par pertes et profits. J’avais concocté un bobard pour que mon épouse ne sut rien. Nous ne manquions pas d’argent. Ces Langlade étaient de braves gens. L’appartement avait été occupé avec soin et hormis les derniers temps j’avais durant ces années été payé régulièrement. Cependant la petite avait toujours éludé mes avances. Je la plaisantais des fois sur ceux qui défilaient dans son lit.Je n’insistais pas trop sur ce qui eut pu paraître un chantage. Mon désir cependant était mêlé de jalousie voire de ressentiment. Je n’en avais pas cru les yeux le jour où j’eus la certitude que le père Hamon du dessus sautait la petite Langlade régulièrement. Ce porc était plus âgé que moi avec un physique moins avenant. Comment était-il parvenu ? Cela me demeurait un mystère. Je ne pouvais me résoudre à l’idée que cet ex-ouvrier carreleur eut quelque chose entre les jambes qui eut convaincu cette garce. Mon studio n’était pas un bordel. Je n’étais pas mécontent au bout du compte que cette gueuse déménagea loin d'ici. J’en avais gros sur la patate. J’étais résolu à me dédommager ...
... sur la mère. Elle ne valait pas mieux.A présent il est vraisemblable qu’elle fut au courant des vices de sa fille. Bon sang ne saurait mentir. J’avais pu vérifier qu’elle avait à son âge honorable le feu encore au cul. Elle en paraissait dix de moins. Femme dont la le chic et la classe masquaient mal les stigmates du vice. J’avais été dupe au début des apparences. Je plaignais maintenant son pauvre mari. J’imaginais sur la tête de celui-ci une forêt de cornes. Ils vivaient chichement. Je me gardais de mépriser leur mauvais sort. Ils m’en surent gré. Je me demandais si cette femme avait adopté ces façons cause de leur ruine. Je doutais cependant qu'elle se contenta que d’un seul amant. Je voulais approcher de ce mystère.Je me souviens de la conversation que nous eûmes il y a deux mois. C’était janvier. Dehors il faisait froid. Une petite pluie fine ajoutait au désarroi du temps. Je savais qu’elle allait me parler de sa dette et tâchait de m’embrouiller. J’en baillais par avance. Je me foutais du fric. J'étais près à me ranger à ses propositions. Je fus frappé qu’elle me donna rendez-vous dans un estaminet, lieu glauque pour une jolie femme. Nous n’étions entourés que d’hommes de basse extraction flanqués de filles tout aussi communes. Je mis sur le compte de l’incognito que nous nous trouvâmes ici à négocier. En effet il y a avait peu de raison que nous y croisâmes des connaissances. Je pris en bonne part cela. Elle prit une bière comme moi. Je la découvrais sous un angle ...