1. Un rendez-vous attendu


    Datte: 08/06/2021, Catégories: ffh, couple, couplus, Collègues / Travail fsoumise, Oral fgode, pénétratio, Partouze / Groupe fdanus, jouet, couple+f,

    ... C’est moi qui décide quand on rentre, toi tu as juste à écouter. Et si tu écoutes bien, peut-être que je te laisserai jouir. Elle ne dit rien, me fixe et puis baisse le regard devant mon expression sévère. — Maintenant on va marcher encore un peu et pendant ce temps, tu vas me raconter comment tu te branles quand tu es seule. Et sans oublier un seul détail. Compris ?— Oui. Et nous revenons donc tranquillement et à mon rythme, à notre chambre… **************************** Je marche doucement, pendant qu’elle raconte la façon dont elle se caresse, dont elle étire ses tétons, quand elle a commencé à découvrir ce plaisir… Par chance, j’ai un t-shirt ample et long qui cache mon short bien tendu. Quant à elle, si son short ne montre évidemment rien, ses tétons pointent sous son t-shirt. Et il fait beau ici. Je me force à marcher doucement, la laissant s’exciter à raconter ses petites turpitudes. L’hôtel n’est pas loin et pour une fois je suis content de prendre l’ascenseur. Je me place en face d’elle et je sens, je vois tout son corps tendu vers moi. Juste avant de sortir, je la récompense (et moi aussi !), en effleurant d’un geste rapide la pointe d’un sein et en disant : « excellent récit ». Ça lui fait comme une petite décharge électrique et je sens toute sa tension affleurer. Nous entrons dans la chambre et je vais tranquillement m’asseoir sur le lit après un passage par la salle de bain. Quand elle en sort à son tour, elle vient vers moi, mais je la stoppe d’un geste. Elle ...
    ... s’arrête, indécise, s’apprête à parler, mais à nouveau, je lui intime d’un geste de se taire. Elle est debout, droite, sans bouger, je tourne autour d’elle lentement, frôlant comme par mégarde ses fesses du dos de la main. Elle frémit, mais ne dit rien. Je vais me rasseoir puis lui dit : — Mets-toi nue. Doucement… Elle se déshabille donc doucement, mais je sens tout son corps se raidir, se tendre. Elle ne sait pas trop à quoi s’attendre et je commence à comprendre le plaisir qu’elle ressentait hier soir. — Va te mettre face au mur, penchée, les pieds en arrière. Elle se positionne et se retrouve ainsi en équilibre instable, son poids sur les bras. Je passe derrière elle, l’effleure très, très délicatement sur le bas du dos, le cou (elle penche immédiatement la tête en arrière pour chercher les caresses), mais je suis plus rapide et ma main repart pour mieux revenir en lui assenant une claque sur ses fesses. Elle retient un cri et tend son adorable postérieur. Mais c’est quand elle relâche ses muscles que je lui assène plusieurs petites claques rapides qui lui font rougir ses fesses. Je stoppe, effleure puis redonne quelques claques. — Prends la posture. Elle s’exécute immédiatement. Elle sait de quoi je parle, elle l’a fait prendre hier soir à Sybille ! Fesses sur les mollets, dos bien droit, bras à angles droits et mains à plat devant soi, regard vers le bas, la servante aux ordres de son seigneur. Ses tétons sont durs, ses seins tendus, ses yeux brillants. Je me place devant ...
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