La lesbienne qui aimait un homme
Datte: 09/06/2021,
Catégories:
fh,
fbi,
hbi,
frousses,
rousseurs,
copains,
gros(ses),
amour,
volupté,
Masturbation
intermast,
Oral
préservati,
pénétratio,
hdanus,
ecriv_f,
... rendre compte qu’il se passe quelque chose dans son lit. Lève-toi, va te coucher et oublie tout ça. » Je murmurai à Amine que je devrais gagner ma chambre. Il me dit « Non, c’est correct, reste là. » Quelques minutes passèrent, je faisais l’amour à son bras droit qui entourait mes seins et, de sa main gauche, lui faisait de même à mon bras gauche qui encerclait la taille de Brice. Je devenais follement excitée. Mon désir était clair : je voulais son sexe bandant dans mon vagin trempé. La seule chose qui m’empêchait de me retourner vers lui soudainement pour me jeter sur son sexe, c’était que j’étais clouée d’un côté par le corps de Brice qui dormait toujours à poings fermés, malgré ce qui se passait juste à côté de lui, et que le moindre mouvement de ma part risquait de le réveiller. Ce lit était somme toute un peu étroit pour trois personnes. Je répétai avec plus d’insistance à Amine que je devrais me lever et aller dormir dans mon propre lit, mais il me susurra avec tout autant insistance qu’il souhaitait que je reste. À ce stade-ci je me sentais mouillée comme je l’avais rarement été depuis fort longtemps. C’était incompréhensible qu’un homme ait cet effet sur moi. Je n’osais même pas penser à son degré d’excitation à lui, et encore moins coller mes fesses plus près de son sexe pour pouvoir sentir une rigidité quelconque. Quelque part, je ne voulais pas le savoir. S’il n’y avait eu aucun signe d’érection, j’aurais été déçue ; s’il y en avait eu, j’aurais été bouleversée ...
... et confuse. La situation était trop bizarre. Mais, en même temps, la volupté luxurieuse de ce moment où nous ne nous caressions vraiment que les bras, mais de façon si sensuelle et tendre, avec ses lèvres dans mon cou, me plaisait énormément. Je gravais chaque geste dans ma mémoire. Toutefois, il fallait bien me faire une raison : cela ne pouvait aller plus loin, du moins pas cette nuit. Or, quelques secondes à peine avant le retour de Gisèle, je me suis démêlée du corps de Brice et de l’étreinte d’Amine et je suis montée à notre chambre. Quand Gisèle est venue se coucher, je l’ai serrée dans mes bras et nous nous sommes endormies enlacées, comme d’habitude. Je l’aimais ; nous étions bien ensemble. Ce n’était peut-être plus la passion des premiers jours, mais la vie était belle, nous avions bâti une vie ensemble ici à la campagne, dans une belle maison moderne et ensoleillée admirée de tous, agrémentée de tous le confort, toujours remplie d’amis, de nos chiens fous et de convivialité. Chapeautant tout, la présence de plus en plus fréquente d’Amine, qui s’y plaisait tant. Il y a avait eu tant de transformations dans ma vie avant d’en arriver là : accepter mon attirance pour les femmes, m’assumer comme lesbienne, quitter mon mari, vivre des aventures houleuses, plus ou moins longues, avec de nombreuses femmes, et ensuite la rencontre fortuite de Gisèle sur Internet, une relation à distance pendant plus d’un an, et depuis nos sept ans de vie commune fort agréable. Cette vie de ...