1. Ma poupée russe (2)


    Datte: 09/06/2021, Catégories: Hétéro

    ... jambes écartées à l’extrême pour lui lécher son minou, prêt à s’ouvrir outrageusement. Très lentement, je me suis efforcé de bien déguster toute son intimité du plus haut vers le plus bas en titillant son œillet. Rapidement, j’ai introduis deux doigts pour faire piston. Mon léchage associé à l’action de mes doigts la faisait follement miauler. Je la saisis par les chevilles, que je reposais sur mes épaules, et je la pilonnais de face, le bassin dans le vide. Je fis venir mon sexe violemment à la rencontre de son bassin. Elle me suçait le doigt que je lui donnais tout en me dévisageant comme une affamée de sexe. Nous étions tout les deux dans un autre monde et plus rien importait autour de nous. J’accélérais la cadence puis je stoppai d’un coup. Je venais me coucher sur la table et Anastasia bascula, dos à moi, en se tenant sur mes épaules ; elle s’empalait, la tête à la renverse, savourant son plaisir. M’accrochant fermement à ses hanches, je la fit monter et descendre sur ma queue durant un long moment. Par des mouvements amples et lents, puis succincts et rapides par alternance, elle grognait profondément la menant irrémédiablement pour une seconde fois à l’orgasme. Je voyais ses seins déborder de sa silhouette et par une petite tape sur la fesse droite, je lui fit signe que je n’en pouvais plus. Elle m’a gardé par la queue et m’a amené à la chambre avec de drôles d’idées derrière la tête. Je l’ai pris par la taille, l’embrassa en lui pelotant encore sa poitrine fabuleuse ...
    ... et nous avançâmes vers le lit. Elle s’accrochait à mon cou et elle m’embrassait comme une affamée. Je lui fis un croche patte et nous tombâmes ensemble sur le lit dans un éclat de rires. Je m’imposais entre ses jambes pour me frotter contre sa chatte. Elle était tellement humide que je la pénétra d’un seul coup. Je bougeai en elle pendant qu’elle serrait ses jambes dans mon dos. Je la besogna pendant un long moment ignorant ses plaintes et ses gémissements. Allongée sur le dos, jambes écartées, je la possédais sauvagement, je voyais se balader ses grosses miches dans tous les sens. Elle fermait les yeux et elle semblait jouir de nouveau. Je retirai ma queue pleine de mouille de son vagin et la retourna afin de la mettre à quatre pattes. Je l’ai saisie fermement par les hanches. Je fis semblant de la pénétrer en ne lui caressant chacune de ses ouvertures : un coup je rentre, un coup je ne rentre pas. Ma belle s’impatientait et son bassin cherchait à aller à ma rencontre. Anastasia miaulait un peu, impatiente puis je m’introduis en elle violemment, ce qui eu pour effet de lui arracher une gémissement puissant et libérateur. C’était donc ce qu’elle voulait. La pénétration lente devint très vite animale. Ma belle russe s’accrochait tant bien que mal au drap mais au bout d’un moment, elle colla son doux visage contre l’oreiller pour se laisser aller. La pauvre fille était secouée comme un prunier. Au bout d’un long moment, je me couchai sur son dos pour l’embrasser. Je basculai ...
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