1. Ma rencontre avec une jeune étudiante pas si farouche que ça


    Datte: 10/06/2021, Catégories: fh, jeunes, extracon, Collègues / Travail

    ... quelques gouttes de plaisir, laissant dans la pièce une odeur intime et envoûtante. Pour ma part j’avais le sexe tendu, qui me faisait presque mal maintenant. Je remontai alors vers sa bouche et l’embrassai à nouveau, ce qu’elle sembla apprécier. Elle fit glisser sa main sur mon ventre, jusqu’à attraper mon sexe entre ses mains, après l’avoir libéré du tissu devenu trop étroit. Elle me bascula sur le côté et descendit mettre mon pénis dans sa bouche, me léchant le gland en me masturbant délicatement. Au bout d’une à deux minutes je sentis le plaisir monter en moi - cela faisait deux mois que me femme ne me faisait plus l’amour - et je prévins Lucie, qui sembla devenir plus vorace après cela. J’allais jouir et elle le sentit car elle accéléra le rythme. N’y tenant plus je lâchai mon jus intime dans sa bouche dont elle ne laissa rien échapper. En reprenant mes esprits, je me rendis compte que cette jeune fille semblait bien plus sexuellement libérée que je ne le pensais. Mon érection retomba et elle me demanda si j’avais aimé, ce à quoi je répondis : — bien sûr. Elle se blottit dans mes bras et recommença à m’embrasser. Nous nous caressâmes alors de nouveau et mon érection reprit de plus belle alors que j’enfonçais mon doigt dans son vagin humide. Elle saisit à nouveau mon sexe, le dressa, se mit à cheval sur moi et se laissa glisser me permettant ainsi de m’enfoncer en elle sans même avoir mis une précaution (je sais c’est pas bien mais je n’avais pas tout prévu). Elle ...
    ... commença alors à monter et descendre à un rythme délicat, qu’elle accéléra doucement. Je la renversai afin de me positionner par dessus et je m’enfonçai aussi profond que possible, et avec vigueur, ce qui sembla être à son goût. Encouragé par ses gémissements, je commençai à accélérer le rythme et à me faire plus bestial puis, je m’arrêtai et l’embrassai tout en sortant doucement mon sexe de ses profondeurs. Je l’allongeai sur le ventre, lui écartai les jambes et me remis à la lécher et à enfoncer ma langue en elle. Je me laissai même aller à lui lécher sa cavité anale, ce qui n’entraîna, chez elle, aucune protestation. Dès lors j’eus dans l’idée de la sodomiser dès que je l’aurais fait jouir avec ma langue. Ce qui ne tarda pas à arriver lorsque j’insistai sur son clitoris, après l’avoir cambrée. Elle se mit alors à gémir très fort et à onduler fortement, et je pus désormais boire son jus comme elle avait bu le mien. Puis elle se laissa retomber. Au bout d’une minute, je la positionnai en levrette afin de me remettre à lui lécher l’anus, ce qu’elle sembla avoir compris, car elle se cambra au maximum. Après quelques coups de langue, je lui enfonçai un doigt profondément, et commençai quelques va-et-vient puis j’ajoutai un deuxième doigt et enfin un troisième. Une fois l’anus bien dilaté, je sortis mes doigts et présentai mon sexe, que je lui enfonçai d’un seul trait au plus profond, lui arrachant des petits cris de douleur et de plaisir mêlés. Je commençai mes aller-retour, ...